Historique des marques de train miniature N à Z

SUITE de l'Historique

Noch (Allemagne)
Fabricant et importateur d'accessoires pour les trains miniatures, en particulier pour la construction de paysages. Produits pour toutes les tailles courantes de trains miniatures.

OcCre (Espagne) : Modèles en I et IIm, fabriqués en bois, laiton, aluminium en kits à monter et motorisables.

Olaerts (Belgique) fabricant de matériels roulants echelle O et HO

Os'Kar(Italie) Oskar est un fabricant relativement nouveau qui se spécialise principalement dans les modèles d'échelle HO italiens. Oskar produit des modèles très détaillés d'une qualité exceptionnelle. Aujourd'hui, Oskar s'est positionné comme un producteur majeur de modèles italiens. Ils offrent une large sélection de locomotives et de matériel roulant italiens de la plus haute qualité. Récemment, ils ont ajouté quelques locomotives à vapeur allemandes, françaises et belges et des wagons HO à voie étroite. Nous ne pouvons pas en dire assez sur cette grande entreprise italienne et Reynaulds est fier et enthousiaste à l'idée d'importer tous ses produit

Palitoy (Royaume-Uni) : Gamme en OO, devenu Bachmann Branchline.

Peco(Royaume-Uni)

Peco est un fabricant anglais de voies ferrées pour les réseaux de train miniature, créé en 1946, et basé dans le Pecorama, à Beer dans le South Devon.Outre la voie ferrée miniature, Peco est également un fabricant d'accessoires de décor, un éditeur de publications ferroviaires sous la marque Peco Publications and Publicity Ltd (Railway Modeller et Continental Modeller) et le propriétaire du Pecorama, un parc d'attraction consacré aux trains miniatures.

Piko (Allemagne)

C'est à la foire d'automne de Leipzig en 1949 que Pico présente son premier train: le PICO-Express, fabriqué à Chemnitz, une petite ville de la république Démocratique allemande. Il s'agissait d'un coffret destiné aux enfants qui contenait une petite locomotive accompagnée de quelques voitures et wagons. Ce n'est qu'un peu plus tard que Pico deviendra Piko. Dans le milieu des années 50, la production Piko déménage à Sonneberg. Piko va alors abandonner progressivement les trains de type jouet et s'orienter vers une production plus réelle destinée aux modélistes. Dans les années 60, Piko se lance dans la production à l'échelle N mais ce programme sera arrêté à la fin des années 80. En avril 1992, trois ans après la réunification des deux allemagnes, l'entreprise nationale est vendue. Piko devient Piko Spielwaren GmbH et la direction est confiée à René F. Wilfer. Piko produit toujours des trains et accessoires aux échelles G, HO et TT.

PMP (France)

La firme PMP a été fondée en 1946 par Monsieur Pierre Marie Pillon. Elle était située Boulevard Bineau à Neuilly sur Seine.
La première production de la marque est une petite rame du métro parisien. Elle sera suivie par la locomotive USA de type Baldwin, l'autorail Flèche du Jura, la BB 100, la 030 Boer et la BB 8108 en laiton. Introuvables, ces locomotives valent aujourd'hui une véritable fortune, principalement la rame de métro mais aussi la Baldwin et la Boer.
D'autres locomotives seront ensuite produites dans le début des années 50: la E 244, les BB 9001 et 9004, la BB 8108 en tôle, la CC 7001, le locotracteur et la rarissime BBB 6002.
Outre ces locomotives fabriquées en tôle, en laiton ou en bronze, les productions PMP sont principalement de superbes voitures en tôle finement décorées et d'une très grande qualité. On peut citer par exemple les plus courantes qui sont les OCEM, mais aussi des voitures de banlieue et une grande série de voitures de grandes lignes.
Du côté des wagons de marchandises, la gamme est petite et souvent considérée comme affreuse par les collectionneurs. Pourtant, ces petits wagons tout simples en tôle pliée sont plein de charme.
Les jouets PMP étaient fabriqués de manière artisanale à peu d'exemplaires. Ils coûtaient très cher à l'époque et étaient plutôt destinés à une clientèle adulte ou aux enfants des familles bourgeoises. C'est ce qui explique leur rareté actuelle. Pour l'anecdote, citons que l'acteur Bernard Blier était passionné par les trains électriques et particulièrement par les trains PMP.
Face à la concurrence, la marque va cesser progressivement son activité pour s'arrêter dans le milieu des années 60. En effet, Jouef et Hornby produisent des voitures en plastique injecté moins belles mais beaucoup plus réaliste et bien meilleur marché.
Dans le début des années 80, plusieurs caisses de locomotives seront rééditées par Monsieur Pillon, notamment des caisses de BBB.

Pocher (Italie)

La firme Pocher (se prononce Poker) était basée à Turin en Italie. Elle a été fondée par Arnaldo Pocher en 1949.
Arnaldo Pocher est né le 22 septembre 1911 à Trente en Italie. Il y passe sa jeunesse puis part à Turin en 1932 pour exercer la profession de graveur. Il commence sa propre production à partir de 1949 puis fonde la "Pocher Micromeccanica S.N.C." en 1951.  
Voies, appareils de voie et signaux seront ses premières réalisations. L'artisan montre déjà son génie et sa créativité. Les rails Pocher étaient à l'époque les plus réalistes du marché grâce à deux rails en laiton bruni montés sur une barre représentant la traverse. Le rail central était substitué par des points métalliques.
Il réalise ses premières reproductions de matériel remorqué à partir de 1953. Sa fascination pour les trains associée à son goût pour la recherche de nouvelles solutions ou de nouveaux matériaux rendent sa production remarquable. La petite entreprise familiale grandit petit à petit et compte jusqu'à 30 salariés. Malgré le passage à une production industrielle, ses reproductions de trains et de voitures gardent toujours les caractéristiques de l'artisanat. Jusqu'en 1963, la "Pocher Micromeccanica S.N.C." connait ses années fastes. La diversité des immatriculations prouve que sa production était exportée dans de nombreux pays. Ses reproductions les plus célèbres sont bien sûr la locomotive française CC 7107 qui atteint les 331 km/h en 1955, mais aussi la locomotive Bayard de la ligne de la première compagnie italienne, la Napoli–Portici (1839). Ces deux pièces sont fabriquées en 1963. Les voitures ne sont pas oubliées. Il y'a les mythiques de la CIWL mais aussi la voiture du président Lincoln, la voiture restaurant de l'armistice franco-allemande, la voiture du cirque Barnum... En 1963, Pocher entre dans le capital social de la Rivarossi. La production va hélas très vite s'aligner sur les standards industriels de celle ci. Pocher réalise quelques belles machines puis laisse définitivement sa société en 1968. Rivarossi va alors produire de très mauvaises copies des modèles Pocher.
En 1972, il fonde une nouvelle sociétée: l'ARPO (ARnaldo POcher) qui produit des accessoires à l'échelle N puis à l'échelle HO à partir de 1975. Il réalise avec cette société de petites œuvres d'art pour la société suisse Metropolitan (par exemple une série de magnifiques voitures voyageurs suisses), puis des voitures pour la MCA suisse. Arnaldo Pocher décède en 1989 dans un accident de la route.

Preiser Fabricant de personnages et d'accessoires de décor.

Pruniere (France) Reaubourg Jean Louis : Fabrication type Chaumeil artisanales de materiels roulants en Bronze

Rapido Trains (Canada). Trains Échelle HO et N Haut de gamme.

Rateau (France)

L'histoire de la petite firme parisienne Rateau est très mal connue. Ses premières productions apparaissent en 1955 dans les catalogues des détaillants comme Baby–Trains, Au Pélican ou La Source des Inventions. Elle a donc probablement été créée en 1954.  
La production René Rateau est uniquement composée par du matériel remorqué et surtout par une grande gamme de voitures voyageurs fabriquées en tôle et disponibles en versions courtes et longues. Le matériel est de qualité et les décorations des voitures sont très fines. La datation des modèles est très difficile car la firme n'a pas produit de catalogues. Son rôle consistait principalement à la sous–traitance d'abord pour Fex–Miniatrain vers 1955 puis pour Jep à partir de 1959. A partir de 1963 et malgré une qualité de fabrication croissante, Rateau va suivre le même déclin que Jep. Elle fermera en 1967.

REE Modèles (France) Fabrique des trains miniatures en métal et plastique haut de gamme, locomotives vapeur à fumée pulsée, wagons marchandises, voitures voyageurs d'époque aux échelles H0 et N. Il est à noter que leur nom est un acronyme de Rails Europ Express.

Rivarossi (Italie)entreprise créée en 1945 et reprise en 2004 par Hornby Railways.

RMA (France)

A sa création en 1951, le RMA n'était ni un magasin, ni un constructeur. Il s'agissait en fait d'un réseau construit sur une table de 100 m2. Ce réseau représentait les Deux Savoie en une maquette géante où lacs, vallées et montagnes étaient sillonnées par des trains, téléphériques et trolleybus. Le public pouvait visiter le réseau et avait accès aux postes de commandes.
Le "Réseau Miniature Amateur" a été créé par Joanny Lavignes, ingénieur honoraire à la SNCF et par son fils Louis. Il était situé au 6, cité du Midi dans un ancien dancing de Montmartre à Paris. L'inauguration le 20 novembre 1951 comptait de nombreuses personnalités dont Monsieur Porchez, le Directeur Général Adjoint de la SNCF à ce moment là.
Le RMA va ensuite devenir un magasin (le catalogue général était un véritable recueil de la production de tous les fabricants de l'époque) avant de se lancer à son tour dans sa propre production.
Louis Lavignes était un personnage à la réputation de "requin" passionné par son métier et par les chemins de fer miniatures. Il savait s'encadrer de modélistes talentueux comme par exemple le graveur Robert Guérin, l'un des anciens dirigeants de la firme SMCF. Ensemble, ils vont créer en HO de très beaux modèles d'une grande qualité.
En 1962, Louis Lavignes fonde la revue RMF. Le magasine dont le premier numéro sort en janvier devait s'appeler l'IDR. Il s'appellera finalement "Rail Miniature Actualité" puis RMF "Rail Miniature Flash" à partir du numéro 5. Il sera forcé de quitter son poste de rédacteur en chef après la sortie du quinzième numéro de mai 1963.
Louis Lavignes fonde aussi le journal l'Indépendant du Rail ou "IDR". Le premier numéro sort en avril 1963 et le 292ème et dernier numéro en 1990. Dans le numéro 4 de novembre 63, il annonce son divorce. Il a alors trois enfants de 2, 5 et 10 ans.
La gamme des modèles produits par RMA est énorme. Les matériaux utilisés sont essentiellement le plastique, le laiton, le bronze et le zamac. Parmi les locomotives, on peut citer une impressionnante série de 2D2, la 141 TC Nord, la superbe Crampton, la 030TA... et toute une gamme de wagons marchandises et de voitures.

Louis Lavignes et Robert Guérin crées en 1964 la CPMR (Compagnie Privée du Modèle Réduit) qui devait s'appeler la COOPMORED (COOPérative pour le MOdèle REDuit). C'est Robert Guérin qui en devient le chef de fabrication. La CPMR est en fait en société d'amateur constituée d'actionnaires. La fabrication des modèles coûtait très cher et les fonds permettaient d'investir dans le matériel nécessaire à la production. En échange, les souscripteurs obtenaient les modèles à prix réduits.
Peu connu, Louis Lavignes participa à la création de nombreux projets. Par exemple en subventionnant les études et la production de la BB 66000 TAB ou en commandant les CC Russe et Chine de la même marque. De même, RMA édite en 1967 le premier catalogue France–Trains.
Louis Lavignes décède en mai 88. Le magasin et la production sont repris par sa femme Charline qui déménage au 3, cité du Midi. Il est aujourd'hui fermé.

Roco (Autriche)

Basée à Salzburg en Autriche, la compagnie ROCO Modellspielwaren GmbH a été fondée en 1960 par Heinz Rössler. Elle commença à produire les véhicules militaires miniatures de la série minitank. Le succès commercial de cette série a permis à l'entreprise de se développer dans le modélisme ferroviaire (échelles HO, N et TT).

Les modèles réduits proposés sont représentatifs des principaux réseaux européens (Allemagne, Autriche, Suisse, France, Benelux…) ou des États-Unis.

Le 15 juillet 2005 ROCO Modellspielwaren GmbH a été déclarée en cessation de paiement. Le 25 juillet, l'activité a repris dans le cadre de l'entreprise ROCO Modelleisenbahn GmbH qui a conservé la marque Roco et son logo.

Le 1er octobre 2007, la distribution des Minitank a été cédée au constructeur allemand de véhicules miniatures Herpa.

Matériel français

  les locomotives BB 900, BB 4600, BB 7200, BB 8100, BB 9004, BB 9200, BB 9300, BB 10004, BB 15000, BB 16000, BB 20011-20012, BB 22200, BB 25100, BB 25150, BB 25200, BB 63500, A1AA1A 68000, A1AA1A 68500, Y 8000,Y 8400,puis bientôt CC 72000
  les rames automotrices RGP X 2700, X 2800…
  les voitures Bastille, métalliques Est, Bruhat, UIC, Corail Vu puis Vtu…
  les fourgons UIC et MC 76.

Rokal (Allemagne)

Rokal est une marque allemande créée par Robert Karmann, à Lobberich en 1947.
Lobberich, où se trouvait l'usine, est situé au Nord Ouest de Cologne en Allemagne, non loin de la frontière belge. Jusqu'en 1969, année de la mort de Robert Karmann et de l'arrêt de la production, Rokal va réaliser toute une gamme de trains à l'échelle TT.
La production Rokal était assez importante (l'usine a compté plus de 2000 personnes), une grande partie était exportée vers l'Europe et l'Amérique du Nord.

La production était de qualité, en plastique et en métal. Elle comprenait aussi des bâtiments, des rails, des signaux et tout un système de caténaires. Les trains reproduits étaient principalement allemands et Américains.

Rokal est beaucoup plus connu aujourd'hui grâce à la firme allemande Arnold qui a choisi en 1966 le système d'attelage Rokal pour équiper ses trains à l'échelle N. Le brevet Rokal a ensuite été adopté par tous les fabricants de trains en N.

L'échelle TT ne s'est jamais imposée en France malgré les efforts de la firme Tri-ang. Cependant, cette échelle est très courante en Allemagne et en Europe de l'Est.

Roundhouse (Royaume-Uni) : Fabricant de locomotives à vapeur vive à l'échelle 1:19 à 1:22.5

Roxy (Suisse)

La marque suisse Roxy, basée à Lausanne, a été fondée en 1985 par Pierre Vercelli, lui–même fondateur de la marque Suisse Metropolitan. En créant la sous–marque Roxy, le fabricant souhaitait réaliser du matériel plus robuste et moins cher que celui de Metrop.
La production Roxy comporte au moins trois locomotives et un wagon:
– la CC 7107 SNCF et
– la Ae 6/8 Suisse.
– Une Ae 3/5 Suisse.
– Un wagon des SBB-CFF.
Le matériel de traction est d'excellente qualité modélistique mais roule mal.
Le magasin Metropolitan créé dans les années 70 était d'abord spécialisé dans la vente de trains. Aujourd'hui, la marque est surtout connue pour ses magnifiques créations artisanales de très haute qualité en laiton.
Ces deux firmes ont fait faillite dans les années 1990. Pierre Vercelli est décédé au début de l'année 2003.

Sachsen Modelle (Allemagne) Fabrication de matériels roulants

SMCF (France)

La petite marque au sigle copié sur celui de la SNCF et signifiant "Super Modèles de Chemins de Fer" a été créée en 1948 par deux amis graveurs: Robert Guérin et René Collard.
Installée au 72, rue Edouard Vaillant à Montreuil, la firme sort ses premiers modèles en 1949.
Contrairement à d'autres marques à cette époque, la production est très fidèle à la réalité. L'échelle est respectée et les modèles ne sont pas raccourcis.
1949: les premiers modèles en bronze et en tôle
Au début, la petite firme va s'intéresser aux voitures voyageurs. Ses premières productions sont en bronze, il s'agit d'une série de voitures à essieux de type Nord et d'une série de voiture type PLM 1911 à portières latérales.
SMCF a aussi fabriqué deux voitures de banlieue en tôle type Est avec les marquages PLM ou SNCF.
Puis la marque va abandonner le bronze et la tôle pour le zamak, un matériau plus facile à mouler.
Les voitures en tôle et en bronze sont très recherchées car elles ont été fabriquées en très peu d'exemplaires et pendant peu de temps.
1951: les voitures en zamak
MCF va se faire connaître à partir de 1951 grâce à une série de voitures voyageurs de qualité: les célèbres voitures à rivets apparents, disponibles en version SNCF et PLM.
Fin 1952, le nombre de références est impressionnant. Les voitures à rivets, les CIWL, les voitures à portières latérales, le fourgon grandes lignes et le wagon postal de grandes lignes sont au catalogue.
SMCF réalisera par la suite d'autres voitures en zamac, puis en plastique à partir de 1958.
1953: les premiers wagons
A partir de 1953, SMCF va se lancer dans la fabrication de wagons marchandises. Le premier wagon à voir le jour est le tombereau à essieux type USA sorti en 1952. Il sera suivi en 1953 par les citernes à essieux, le tombereau à bogies et les deux couverts standards.
La gamme s'enrichira ensuite de nombreux modèles.
1958: le plastique
En 1958, SMCF passe à un stade semi–industrielle et crée ses wagons en plastique. Certains moules sont transformés comme ceux des cages à poules. Des modèles nouveaux sont créés comme les voitures Bruhat et la quasi–totalité des wagons de marchandises.
1959: le déclin
En 1959, les premières difficultés apparaissent. Suite à un manque de structures important (l'atelier de Montreuil ne fait pas plus de 300 m2), SMCF doit sous–traiter l'injection, la sérigraphie des boites et des modèles. Seuls la peinture, le montage et la décoration sont réalisés par les quelques ouvriers de l'entreprise.
De plus, la concurrence allemande est rude avec des marques comme Märklin, Trix, Fleischmann qui exportent de plus en plus, mais aussi la concurrence française avec Jouef qui monte en flèche avec des prix aux ras des pâquerettes (Hornby ACHO n'existe pas encore).
En 1960, la firme augmente ses tarifs et arrête toutes les fabrications métalliques, mais ces initiatives ne permettent pas de redresser la barre.
Pourtant, les dirigeants espèreront jusqu'à la fin car le catalogue de 1960 proclame l'arrivée d'une nouveauté SMCF chaque mois.
1961: le rachat par Meccano Hornby
En 1961, SMCF est mis en liquidation judiciaire et racheté par Meccano Hornby. Une grande partie du matériel est déplacé dans la grande usine de Bobigny. Le reste (notamment certains moules de voitures grandes lignes) sera dissimulé par Robert Guérin et René Collard qui ne voyaient pas forcément d'un très bon oeil ce rachat. Ils intégreront malgré eux l'usine Meccano mais tous deux créeront en temps libre des wagons ex SMCF pour des clients et amis. Des BB 30003 dont quelques caisses ont été sauvées de la casse, seront ainsi montées et décorées vers 1964 par Robert Guérin. 1964: la suite, RMA, France Trains et MMM–RG.
En 1964, Meccano est racheté par le groupe Anglais Line Brothers. Robert Guérin et René Collard en profitent pour quitter l'usine de Bobigny, la culture industrielle leur convenant assez mal.
Robert Guérin entre alors au service de Louis Lavignes, fondateur de RMA. Ensemble ils vont fonder la CPMR, une société d'amateurs. Robert Guérin en devient le chef de production et y intègre son fils qui vient d'obtenir son CAP. René Collard intégrera quant à lui la firme France–Trains dès sa création en 1967.
Vers 1968–1969, Robert Guérin achète une maison à Chaumes en Brie dans laquelle il fabrique des modèles sous sa propre marque: MMM–RG. Après son décès en 1971, MMM–RG sera repris par son fils Michel qui va poursuivre la fabrication des modèles de trains jusqu'en 1973, date à laquelle un événement familial va le contraindre à arrêter la production. René Collard rachète alors cette maison et continue la production officieuse de voitures MMM–RG jusqu'à la fin des années 70. Il se trouve aujourd'hui dans la région de Troyes.

Sommerfeldt entreprise créée depuis plus de 35 ans conçoit et fabrique de la caténaire pour chemins de fer miniatures.L 'expérience et les connaissances acquises ont permis de développer les reproductions les plus fidèles de lignes aériennes de chemin de fer. Tout comme dans la réalité cette caténaire construite en grande série est tendue à l’aide de ressorts simulant l'effet des contrepoids

Sud Express (Portugal) : Les trains miniatures Sudexpress émergent en 2008 comme une extension de NORBRASS dans le domaine de la modélisation ferroviaire, en plastique. Son objectif principal est la production de modèles de haute qualité, disponibles sur un marché plus large. La fabrication de ces modèles utilise les dernières technologies en matière de procédés d'étirage et de moulage par injection, conformément à la philosophie de précision et de qualité caractéristique de NORBRASS.

Son nom dérive du célèbre train Sud-Express qui relie la capitale française à Lisbonne en passant par Madrid, depuis 1887.Modèles HO et N.

TAB (France)

En 1947, Marcel Gérard (1899-1954) et son fils Roger (1924-2005), issus d'une famille d'horloger, ouvrent un magasin de modélisme au 36 rue Pernety dans le quatorzième arrondissement de Paris. Ce magasin s'appelait "Trains-Avions-Bateaux", il est à l'origine du nom de la marque TAB. A son ouverture, le magasin propose une série de pièces détachées en O et en HO. La famille Gérard se lance ensuite dans la fabrication de locomotives.
Les premières productions sont en O: une 030 PLM, une 131TB Etat fabriquée en un seul exemplaire, un locotracteur BDR, une BB 225, une Pacific Nord et une BB 100. En HO, on peut trouver par exemple une 141P et une BB 101 Etat fabriquée en collaboration avec PMP.
En 1949, une 241A sera proposée en O et en HO, suivie de la 242AT puis d'une 030 Boer en métal blanc, première locomotive fabriquée en grande série. Roger Gérard abandonne alors définitivement le O pour se consacrer aux productions HO. La plupart des modèles cités précédemment ont été fabriqués à très peu d'exemplaires et sont aujourd'hui introuvables.
A la fin de l'année 1950, le magasin déménage au 6 rue Calmels dans le dix-huitième. Par la suite, la société TAB déménagera aux Taillades, 57 chemin du Badarel dans le Vaucluse. Ce nouvel atelier parisien, plus spacieux, va permettre la création de nouvelles locomotives comme la 2D2 500 Ouest et la 030 DA en kit. Elles seront suivies par les CC 7107 et 7121, les 141R, puis les célèbres CC 6500 et 72000.
Certains modèles paraissent aujourd'hui un peu grossiers. C'est le cas par exemple des 2D2 et des CC 7100. La taille des moteurs en 1950 convenait mal à l'échelle HO. Tout va s'améliorer à partir du milieu des années 50 grâce à l'adoption du plastique dans la réalisation des caisses et à un nouveau moteur moins encombrant. L'amélioration du moteur, l'adoption du plastique, une mécanique irréprochable sont autant d'atouts qui vont contribuer au succès de la marque que nous connaissons tous. La gravure des caisses devient irréprochable, la cabine de la 141R s'aménage. De multiples gadgets originaux ou pratiques vont faire leur apparition au fil des années. Citons par exemple les ventilateurs fonctionnel de la 72000 mus par un moteur auxiliaire, l'éclairage par diodes, la possibilité de débrayer le bogie moteur, les doubles puis triples rapports de réduction, l'adoption de modules digitaux avec sonorisation...
Les locomotives TAB sont des modèles haut de gamme d'une qualité remarquable tant à l'extérieur qu'à l'intérieur. Roger Gérard était un artisan polyvalent, capable de réaliser une locomotive de A à Z. Il continuera ses activités jusqu'à la fin de sa vie en 2005.

Teletrain

Tenshodo (Japon)

La marque Tenshodo existe depuis 1879. C'est avant tout une société spécialisée dans les bijoux et les montres (activités toujours présentes).
A partir de 1949, Tenshodo commence la fabrication de modèles réduits de trains, principalement des modèles destiné au marché US. La qualité de ces produits fabriqués en laiton, au Japon, font rapidement le tour du monde. Des modèles japonais, puis des modèles européens sont réalisés. Pour la France c'est une 141 R qui est reproduite
Le prix de vente et les défauts existants seront un frein important à sa diffusion.

Tourelle (France)
Dans les années 50 Paul Tourelle n'a fait que de la voie mais pas n'importe laquelle.
D'abord de la voie 3 rails (exceptionnellement 2 rails) en laiton sur des traverses en bois véritable; la particularité était que le client pouvait commander sur mesure les rails de son choix, courbes avec diamètre de 1m 1m10 etc… 2m, appareils de voie très grand rayon sur mesure idem.
Ensuite des rails plastiques avec ballast 3 rails reproduisant la voie traverse béton en se servant de la tige en fer reliant les supports béton pour l'alimentation du ski (à la place des plots ou du rail central), plusieurs rayons, aiguillage droit et gauche, triple, courbe, croisement,TJD…

Tillig Modellbahnen (Allemagne)

Fabricant de voies et matériel roulant, en TT et HOm surtout

Tomix (Japon)

Marque appartenant au célèbre fabricant de jouets TOMY. Leader au Japon devant Kato. Modèles essentiellement japonais, en N. Un système de rails, d'automatismes et d'alimentation numérique remarquables.

Tomytec (Japon)

Trains Rousseau (France) Wagons couverts Rousseau type OCEM 1919

Triang

C'est en 1876 que les frères Joseph et George Lines décident de fonder une fabrique de jouets. La G&J Lines Ltd commence à fabriquer des petits jouets en bois de toutes sortes comme des jeux de quilles, mais aussi des chevaux à bascule pour enfants qui sont aujourd'hui très recherchés.
Après la première guerre mondiale, trois des quatre fils de Joseph forment la Lines Bros Ltd. Bros étant en anglais le diminutif de brother (frère), la société est souvent appelée Lines Brothers Ltd ou Lines frères en France. William, Walter et Arthur vont produire des jouets en bois comme leur père.
Le nom de famille Lines signifie "lignes" en anglais. Les trois frères Lines formant chacun une ligne, la société va aussi prendre le nom
Tri-ang, diminutif de triangle.

En plus des jouets qui sont bons marchés et très appréciés par les enfants, Triang va fabriquer des landaus et des bicyclettes. La société prend de l'importance et plusieurs usines sont créées dans le monde.
Pendant la seconde guerre mondiale, la production de jouets en Angleterre est arrêtée pour créer du matériel militaire. Les usines Lines fabriquent des armes, des munitions et participent activement à l'organisation de la production dans le pays.
Une année décisive
En octobre 1951, Triang fait l'acquisition de Rovex, une petite entreprise qui fabrique des jouets en plastique. Triang souhaite grâce à ce rachat se placer sur le créneau du train. En effet, les premiers jouets de Rovex en 1947 sont des petites voitures, mais le grand constructeur automobile de Birmingham Rover voit dans cette production un affront. Rovex doit donc arrêter la production de voitures et fabrique alors des coffrets de trains en plastique pour Marks & Spencer. Les trains Rovex sont dans les rayons pour Noël 1950.
La Rovex Plastic Ltd entre dans le groupe Lines et rejoint la principale usine de Triang située à Margate dans le Kent.
Les trains Rovex–Triang
La production de trains Rovex–Triang à l'échelle OO commence dès 1951. Les trains sont entièrement réalisés en plastique ce qui permet de réduire le coût de la fabrication. De plus, le prix des moteurs est moindre, les modèles étant beaucoup plus légers.  
La Rovex Plastic Ltd va rapidement acquérir une maîtrise parfaite de l'injection plastique et dominer le marché du train au Royaume Unis, mais aussi en Australie, en Nouvelle Zélande, en Afrique du Sud, aux Etats–Unis et au Canada où la production est exportée.
Les trains Triang sont très compétitifs et sont devenus une véritable menace pour Hornby qui termine integré dans le groupe Lines en 1964.
Les trains Triang–Hornby
En 1964, Meccano accepte le rachat proposé par le groupe Triang. Lines devient ainsi le premier producteur de jouets du pays. La filiale train porte maintenant le nom Triang–Hornby. Au début, Triang souhaitait associer la production Hornby Dublo à la production Triang mais les techniques de fonctionnement étant différentes, Triang préfère confier la réalisation des trains Dublo à une autre de ses filiales: la G&R Wrenn Company, située à Basildon. Les trains Dublo sont vendus sous le nom Triang–Wrenn, Triang gardant le nom Triang–Hornby pour des raisons marketing jusqu'à l'arrêt de la fabrication en 1969.
Les trains TT Triang
En 1957, le groupe Lines Brothers se lance dans la création de trains à l'échelle TT. L'échelle TT (Table Top), l'ancêtre de N, est beaucoup plus petite que l'échelle OO.
Triang crée une gamme complète de matériel roulant, d'accessoires et de bâtiments. Certains trains sont des copies réduites des trains OO de Triang, mais le programme TT bénéficie aussi de nouveaux modèles. En 1959, Triang s'introduit en France et crée la grande usine de Calais. Triang aimerait introduire ses trains TT en Europe de l'Ouest pour concurrencer le HO. C'est dans ce but que Triang achète la petite firme VB. Cette initiative ne rencontrera pas le succès espéré car la fabrication artisanale de VB est incompatible avec la grande industrie Triang.
Le programme TT Triang sera finalement arrêté en 1964.
Les trains Rovex–Triang, Triang–Hornby, TT–Triang, Triang–Wrenn et Big Big forment la "Triang Railways" jusqu'à la fin de Triang en 1971.
Les autres productions de Triang :La production de l'empire du jouet Lines depuis sa création jusqu'à sa faillite en 1971 est colossale et s'étend dans tous les domaines du jouet.
En plus des jouets en bois, des chevaux à bascules, des landaus, des vélos, des trains OO et TT, Lines c'est aussi:
– Les trains Big Big à l'échelle O fabriqués par Triang–Rovex à partir de 1966.
– Les circuits automobiles Scalextric créés en 1957 par la firme anglaise MiniModels qui entre dans le groupe Lines en novembre 1958.
– Les voitures en plastique Minix à l'échelle OO fabriquées par Triang Rovex à partir de 1964.
– Les bateaux Minic.
– Les véhicules Minic.
– Les véhicules Spot On.
– La poupée Sindy.
– Des maisons de poupées.
– Une grande variété de voitures à pédales.
– Des jeux éducatifs.
– Les jeux de construction Arkitex.
Et des dizaines d'autres encore...
L'histoire du groupe General Mills :Le géant américain General Mills est connu dans le monde des jouets pour avoir acheté Meccano. Mais la société General Mills est avant tout l'un des plus grands groupe agro–alimentaire de la planète.
General Mills signifie en français "Minoterie Générale". La firme est en effet constituée en 1928 par le regroupement de trois grosses minoteries de Minneapolis.
La plus ancienne est celle créé par Cadwallader Washburn en 1866. Son moulin était situé sur le bord du Mississippi. Cadwallader Washburn s'associe avec John Crosby, lui aussi propriétaire d'un moulin. Ils forment en 1877 la "Washburn Crosby Company". En 1928, ils s'associent avec un autre grand minotier: Charles -censure FTM- pour créer le groupe General Mills.
Palitoy, l'une des filiales "jouet" du groupe, reprends Meccano France à la faillite du groupe Lines en 1971. Meccano Angleterre est repris par Airfix qui devient alors le plus grand constructeur de jouets du Royaume Unis. A la faillite d'Airfix en janvier 1981, General Mills achète le groupe constitué entre autre des marques Dinky Toys, Meccano, Matchbox et Airfix.
En 1969, deux ans après la faillite de Lionel, General Mills avait acheté la licence de fabrication du grand constructeur américain de jouets et de trains électriques. La production Lionel est déplacée du New Jersey vers l'état du Michigan. En 1982, le groupe licencie les ouvriers pour délocaliser la production des jouets Lionel au Mexique, la main d'oeuvre y étant beaucoup moins chère. Mais ce déplacement est un fiasco car le travail est de très mauvaise qualité. En 1984, la production retourne près de Détroit dans le Michigan et en 1985, General Mills vends sa filiale jouet. Lionel est vendu au groupe Kenner Parker et Meccano à Marc Rebibo le 4 novembre 1985.

Trix

En 1932, la famille  Bing, dont l'entreprise ne s'était pas encore remise de la crise économique de 1929, quitte l'Allemagne pour échapper au régime nazi. Trix est ainsi créé en Angleterre au début des années 30 par plusieurs anciens dirigeants de Bing.
Trix se fait rapidement connaître avec ses trains, mais aussi avec un jeu de construction très proche du Meccano de Hornby. En 1935, la firme se lance dans l'aventure du OO avec le Trix Express. Ce système baptisé "Trix Twin" permet le contrôle simultané de deux trains grâce à l'utilisation séparée des trois files de rails. Après la chute du régime nazi, Trix retourne s'installer en Allemagne et Trix Angleterre devient une antenne appelée "Trix Twin Railways".
Peu après, Trix adopte le HO et présente le "Trix Express International" qui utilise le système à deux rails en 12 volts continu.
En 1965, Trix crée le système Minitrix pour les trains à l'échelle N (1/160). De beaux modèles comme la CC 72000 ou la CC 6500 sont réalisés pour le marché français. En plus du Minitrix, Trix commercialise en HO des modèles à deux rails en courant continu pour Märklin. Ces modèles sont de hautes qualités et équipés de moteurs à rotor sans fer à hautes performances. Les dernières productions pour le marché HO français sont la BB 12000 et une locomotive diesel série 461000 en version fret.

Troby (France)

La petite marque française Troby a été créée au début des années 50. Installée à Bitche, elle a d'abord fait de la sous-traitance pour plusieurs fabricants de jouets avant de réaliser sa propre production. Elle va d'abord s'intéresser aux voitures en créant des circuits automobiles à partir de 1961, puis des trains à partir de 1963. Pendant cinq ans, Troby va réaliser une vingtaine de modèles dont sept locomotives parmi lesquelles:
– un locotracteur Y 9103
– une locomotive BB 16501
– une locomotive A1A 68000
– une locomotive CC 40105
– une locomotive diesel 060 DB
Ce sont des modèles extrêmement simples et souvent raccourcis qui n'ont que peu d'intérêt pour un modéliste. Ces jouets étaient plutôt destinés aux enfants et vendus surtout en coffrets dans les grandes surfaces. On pouvait même commander sur le catalogue "La Redoute" la BB 16500 accompagnée de quatre wagons (citerne à essieux, couvert à essieux, plat à bogies et houiller à bogies), le tout dans une boîte anonyme sans la moindre marque de fabrique, du style boîte à chaussure.
La petite firme était régulièrement présente dans les foires de Lyon et de Nuremberg. Mais il s'agissait là de sa seule publicité car elle n'a diffusé que très peu de catalogues. Elle arrêtera la production de trains en 1970 et fermera ses portes en 1985. Aujourd'hui, Troby est une petite marque intéressante pour commencer une collection séduisante avec un petit budget.

Ulhenbrock (Allemagne)

société spécialisée dans les matériels pour les réseaux "digital"

VB (France)

Etablie au 5 de l’avenue de la République à Paris, cette petite firme fût créée en 1946 par Monsieur Vollon, diplômé de l'école Centrale, et Monsieur Brun. Le nom VB a été formé par leurs initiales.
Elle réalisera, outre quelques très belles locomotives et quelques voitures voyageurs, une magnifique série de wagons marchandises d’une qualité remarquable qui sont aujourd’hui très prisés par les collectionneurs et qui s’échangent à prix d’or.

Au tout début, VB n’était qu’une toute petite entreprise. Les premiers wagons, fabriqués à partir de 1947, sont entièrement réalisés à la main en un très petit nombre d’exemplaires, parfois en un seul.

En 1950 apparaissent les premiers tarifs dans lesquels les wagons sont référencés sous le nom de série maquette. En 1951, un catalogue présentera ces wagons. Toujours réalisés de façon artisanale, ils deviennent de plus en plus réalistes. Le succès est grandissant si bien que VB exporte ses wagons en Belgique, Suisse, Italie et même au Canada.

Dès 1950, VB propose une voie à 3 rails posée sur de la tôle. Dans un premier temps, le ballast est représenté par du sable collé mais il sera vite remplacé par de la peinture, sans doute pour des raisons de coût. Rapidement, VB proposera une gamme complète de voies, d’appareils de voie, et un système de caténaire très réaliste qui s’emboîte sous la voie.

En 1955, la firme sort sa première locomotive: la BB 9001. Elle peut ainsi vendre ses premiers coffrets. Cette machine sera suivie par une autre locomotive elle aussi en zamac: la BB 9211.

L'année suivante sera créée la série industrielle. Les wagons sont en zamac. Toutefois, la production des wagons maquette ne sera pas arrêtée et ils resteront présents aux catalogues jusqu'à la fin.

En 1957, face à la montée en flèche de Jouef qui propose des trains de moindre qualité mais à un prix défiant toute concurrence, VB tente de réagir en proposant la série semi–maquette ainsi que des voitures voyageurs et une rame banlieue en plastique.

Cette réaction trop tardive conjuguée à un manque de structure et au coût beaucoup trop important de la sous–traitance entraînera VB sur le déclin.
En 1960, juste après la sortie de sa locomotive 060DB, VB sera racheté par la firme anglaise Triang qui cherche à s’introduire en France.
L’ensemble de la production est rapatrié dans l’usine Triang de Calais et après la création de quelques modèles sous la marque VB-Triang, la production de ces trains sera arrêtée en 1962.
En 1963, VB sera racheté à Triang par un photographe: Daniel Lejeune qui reprendra une partie de la production jusqu'à la fin des années 60.

Viessmann(Allemagne) société spécialisée dans les kits électronique, accessoires et décor..

Vitrains(Italie)

Fabricant de trains miniatures échelle mis en place en mai 2005 à 1:87 Costabissara (VI). C'est une société profondément ancrée dans le territoire de Vicence, mais avec un oeil au-delà des frontières nationales.

Volmer (Allemagne)

1946 La compagnie a été trouvée
1949 Visite de la foire le premier jouet à Nuremberg, à la présentation de la caténaire brevetée
1954 Production d'accessoires Model Railway - 13 articles
1956 premier IBM EDP machine; le bâtiment a été construit la première entreprise
1973 bâtiments d'élargissement et de nouveaux ont été construits
1980-1988 Introduction sur le marché des Patrizierhouses, série romantique, avec une décoration intérieure et l'éclairage inclus; maisons grande ville ainsi que l'Hôpital Vollmer la Forêt-Noire.
1992 Introduction de CAO / FAO dans la contruction et de moules départements
1995 Troisième prix au concours de comté pour les femmes et les entreprises axées familiy
2000 Gestion la qualité? Est officiellement mis en place: la première certification après VDA 6.1; Millénaire
2002 Introduction de l'euro
2004 Réorganisation du bureau de l'organisation et EDP-système
2005 Présentation du Pape Benedikt XVI Lieu de naissance
2006 Première fois dans l'histoire de la société Vollmer, l'anniversaire de la Société 60e est célébrée avec deux jours de l'usine ouverte
2008 Vollmer propose environ 1000 aricles pour les trains miniatures

Woodland Scenics (USA) : Fabricant de produits de décor, et de réseaux clé en main.

Wesa (Suisse) : Ancien fabricant de trains électriques miniatures

Weirnert (Allemagne)

Wiking (Allemagne)

1939-1945
Les temps difficiles plein d'incertitude
Le temps de rattraper WIKING-Modellbau: l'entreprise est déclarée une usine de munitions. Les organismes gouvernementaux bientôt réaliser que des modèles utiles de navires, d'avions et les véhicules peuvent être produites pour une utilisation dans la formation ou de surveillance au besoin. Les modèles peuvent également être exportées vers des pays neutres, si nécessaire. 1938-1939 Les navires sont suivis par les avions et les voitures sur l'eau, sur terre et dans l'air: en plus de la série a rapidement établi des modèles de navires Wiking, les ateliers WIKING désormais commencer à produire modèles réduits d'avions. Ce sont maintenus à une échelle de 1:200 et sont faites en plastique à l'aide dès 1939. Modèles Wehrmacht WIKING sont également produites, des miniatures de véhicules militaires en métal moulé avec roues fixes qui peuvent être utilisés comme aides visuelles. Lors du salon d'automne à Leipzig en 1938, nous voyons les premiers exemples de modèles de véhicules WIKING 1:200. Ce sont également à considérer comme non-déplacement des modèles qui ont un poids considérable pour eux en raison de la fonte utilisée. 1939 Inscription au registre des sociétés Maintenant, c'est officiel: le 3 Décembre 1939 "Wiking-Modellbau Peltzer & Peltzer" apparaît dans Registre des Sociétés. Une entrée de quelques lignes dans le registre des sociétés pour le Grand Berlin signifie la production de miniatures de navires à l'échelle 1:1250 dans le quartier de Lichterfelde. Cette échelle a ensuite été modifié pour 1:1275. Cependant, les soi-disant "flottaison" modèles ne restent pas le seul domaine d'activité de la jeune entreprise pendant longtemps. Sur demande, le modélisateur prend pour modèles de navires produisant à une échelle plus grande - certes à la commande. Parole de sa capacité se propage rapidement. 1931 Du loisir à la profession, il allait devenir le chemin de la réussite: le hobby de Friedrich Karl Peltzer développée dans une profession.