PublicationsHistorique des marques de train miniature A à K
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Historique des marques de train miniature A à K
par Papybricolo Dim 24 Juil 2011 - 17:44
Vous trouverez ci après une liste de marques de train miniatures dont un grand nombre ont disparues...
Cette liste permettra à certains (surtout les débutants) de connaitre d'où vient la "merveille" qu'ils ont déniché au fond d'un grenier...
les infos sont issues de l'ex site "les trains de guillaume", Wikipédia etc...
Certaines "marques" ne sont pas renseignées ou bien manquantes donc si vous avez des infos vous pouvez faire un message sur le post ...et je les rajouterai ....aussi si vous voyez des erreurs ou inepties = PAREIL : inutile de faire des rayures ou couleurs différentes
Accucraft (États-Unis) : Modèles de qualité en laiton à grande échelle (1:19 à 1:32) et vapeur vive
A & B Industries (États-Unis) : Fabricant de caissons de rangement pour les échelles O, HO et N.
AAA Precision Turntables (États-Unis) : Fabricants de tables tournantes et de commandes de tables tournantes aux échelles G, O, S, HO, N et Z.
ABG Model Trains (Suisse) : Fabricant de locomotives, wagons de marchandise et bâtiments à l'échelle O allemande (1:45).
ACME (Italie) le spécialiste milanais du train HO italien
Accucraft (États-Unis) : Modèles en laiton à grande échelle (1:19 à 1:32) et vapeur vive.
Accu-Lites (États-Unis) : Fabricant d'éclairages de locomotives à l'échelle HO.
Accurail (États-Unis) : Fabricant de wagons de marchandise à l'échelle HO.
Accurate Dimensionals (États-Unis) : Fabricant de décor aux échelles S, HO & N
Aristo-craft (États-Unis) : Fabricant de trains de jardin au 1:29 et 1:24
Athearn (États-Unis) : Fabricant de trains à l'échelle HO et N.
Atlas (États-Unis) : Fabricant de trains à l'échelle HO, N, O et Z.
American Z Line (États-Unis) : Fabricant de trains américains à l'échelle Z.
L’Aiguilleur (France)
SARL "Trains de France", société créée par Madame Millet et Monsieur Raffin et spécialisée dans la décoration et la vente de trains en plastique de très bonne qualité. Il était situé au 4 de la rue Merlin dans le onzième arrondissement de Paris et tenu par Madame Millet, dont le mari décédé avait été le fondateur de France-Trains. Le magasin a fermé au début de la décennie 1990, vers 92 ou 93.
Monsieur RAFFIN s'occupait de l'aspect technique du modélisme et procédait à des transformations et des sur détaillage de matériels du commerce. C'est ainsi qu'a été créée une 141 TA du PO à surchauffeur, basée sur le modèle Jouef. L'Aiguilleur a aussi commercialisé deux modèles de locomotives, la 121 Forquenot du PO et la 2C2 du MIDI dont la production était sous-traitée par DJH Model Loco. Depuis la disparition de l'Aiguilleur, DJH commercialise directement ses modèles et a d'ailleurs remis ensuite ces deux locomotives dans son catalogue.
La rame de voitures à portières latérales du MIDI et du PO-MIDI est en fait une production des Trains Rousseau, figurant à la page 7 du catalogue 1985-86 de ce constructeur. Il est vraisemblable qu'en raison des difficultés financières rencontrées par les Trains Rousseau, seuls les tirages des modèles bruts aient été effectués. L'Aiguilleur aurait ensuite procédé à la décoration de ces modèles avant de les commercialiser directement. La production se compose aussi de voitures Est à lanterneau, d'une remorque d'autorail aux couleurs du PLM, ainsi qu'une voiture "parc", toujours en PLM. Ces deux derniers modèles étaient extrapolés de voitures Est ou Nord à portières latérales.
Les voitures produites par L'Aiguilleur sont réalisées en plastique. Elles possèdent des vitrages, des rambardes rapportées, des soufflets, un aménagement intérieur... Leur décoration est très soignée.
Allard (France)
J-R. Allard (JRA) a ouvert son magasin Au Pullman en 1946, au 72 rue d'Amsterdam, à la lisière du 9° arrondissement, dans le quartier de l'Europe, en face du Petit Lycée Condorcet qui lui apportait sans doute une nombreuse clientèle d'élèves, mais aussi de parents.
A la fois revendeur de marques de l'époque (VB, ANTAL, PMP, Bascou, Tourelle, JEP, Hornby, BLZ, HAG, …), il voulait résolument promouvoir le modèle réduit ferroviaire en proposant à ses clients toutes sortes de matériels à construire soi-même : voie, locos, wagons, bâtiments, transfos même. Ne lésinant pas sur son temps, il passait de longs moments avec ses jeunes clients pour les conseiller, les orienter vers des solutions simples, efficaces et peu onéreuses, à la portée de leur bourse plate, tout en poussant la vente de ses fabrications, sans jamais exclure de produits de marques, bien entendu.
Inventif, J-R. Allard créa peu à peu tout le matériel nécessaire à la construction d'un réseau complet et, lorsque le temps, ou le manque de compétence, manquait au client, il proposait même des réseaux "clé en mains" que fabriquait Serge Pélachaud, le technicien maison qui a fait toute sa carrière au Pullman.
Au moins 2 catalogues ont été édités, en 1952 et 1955 (y a-t-il eu des éditions ultérieures ?), aux rubriques classées par ordre alphabétiques, décrivant les produits et prodiguant des conseils, intitulés " Traité - Guide - Catalogue général illustré des trains HO ". L'introduction stipule clairement : "Notre but, en publiant le présent ouvrage, est de répondre au désir pressant de notre clientèle, FRANÇAISE ou ÉTRANGÈRE, chaque jour plus nombreuse, de pouvoir se faire, grâce à un petit opuscule, simple et concis, une idée générale de ce qu'on peut réaliser, en TRAINS MINIATURE, soit en construisant soi-même son matériel soit en se procurant du matériel du commerce, tout construit." Un slogan accrocheur y figure également, mais seulement dans la 2° édition : "Construisez votre voie : un réseau de voies "PULLMAN" rembourse tout le reste !" (NDLR : l'auteur, ancien lycéen de Condorcet et client du Pullman, atteste que ceci est tout à fait véridique).
Au milieu des années 1960 J-R. Allard a pris sa retraite à Lancieux, dans les Côtes d'Armor où il est décédé à la fin des années 1990. Le magasin Au Pullman existe toujours à la même adresse.
Antal (France)
La petite firme Antal a été créée en 1944 pendant la seconde guerre mondiale. Antoine Alaverdhi, le fondateur, donna les premières syllabes de son prénom et de son nom à sa société. La production Antal se limite à une seule locomotive déclinée en plusieurs variantes: la 231-H Pacific.
En proie à des difficultés financières, Antoine Alaverdhi s'associe à Charles Vuillaume vers 1950. Le matériel est désormais vendu sous le nom Vuillaume-Antal et on verra apparaitre la 231 accompagnée de voitures Vuillaume dans plusieurs coffrets.
Les voitures Vuillaume sont très proches des voitures Rateau. La firme Rateau ayant été créée vers 1954, il est possible que René Rateau ait racheté Vuillaume dans le milieu des années 50.
La 231-H existe dans de nombreuses versions. Le premier modèle est noir mat uniforme et fonctionne au courant alternatif. Il sera ensuite vendu en vert ou en noir, pour courant alternatif ou continu, en versions normal, super-détails, super-amateur, et même en kit.
Vers 1966, Antal est repris par Bascou qui décède un an plus tard. La production s'arrêtera à ce moment là.
Arnold (Allemagne)
Entreprise allemande de fabrication de jouets créée à Nuremberg le 4 octobre 1906.Spécialisée dans les jouets en fer-blanc, elle produisait aussi des bateaux et des maisons de poupée jusqu'à la Seconde Guerre mondiale où l'usine fut totalement détruite.
Elle est surtout connue pour avoir lancé en 1962 la gamme de trains miniatures Arnold Rapido à l'échelle du 1:160 avec un écartement des rails de 9 mm : ce fut la naissance de l'échelle N.
De 1960 à 1962, la production était constituée par une gamme de petits trains « Rapido 200 », à l'échelle 1:200, plutôt train jouet que train modèle.
Mais, à partir de 1962, l'entreprise se tourna vers la production de véritables trains miniatures et s'imposa comme la production N de référence à partir de 1970. En 1964, l'échelle N était reconnue comme norme NEM et plus tard ce fut l'« attelage Rapido » qui fut retenu comme standard européen de l'échelle.
En 2000, la firme est rachetée par Lima puis en 2004 par Hornby PLC. La production est maintenant faite en Chine.
ARTITEC(Néederland)
Depuis sa création dans les années 80, Artitec est spécialisée dans la construction de modèles pour musées, architectes et chantiers navals. Par exemple, le diorama «Reede van Texel» pour le Maritime and Beachcombers Museum de Texel, qui ramène les visiteurs à l'année 1665, également recréé la ville d'Alkmaar vers 1671 pour le Stedelijk Museum Alkmaar. Ce dernier a été réalisé à l'échelle du train miniature 1:87.
AS(France) : Échelle HO. Échelle O tin plate. Marque disparue, dans les années 80.
Auhagen (Allemagne)
Entreprise familiale dans les Monts Métallifères depuis près de 140 ans, appuyant sur la diligence et l'inventivité de ses employés et en travaillant continuellement sur la qualité et l'originalité de ses modèles.
Bachman (Etats Unis)
Créée en 1833 par Henry Carlisle. Elle fabrique alors des objets ornements et des bijoux en ivoire. En 1899, l'entreprise, dirigée par Henry E. Bachmann, fusionne avec celle du père et du frère de celui-ci et devient Bachmann Bros. En 1929, Bachmann devient fabricant de lunettes de soleil.
En 1947, Bachmann s'essaye au plastique et lance la production de décorations de Noël, en particulier de petites barrières. Celles-ci sont réutilisées par des modélistes ferroviaires. Voyant là un marché à exploiter, Bachmann lance sa gamme de bâtiments Plasticville, à l'intention des modélistes pratiquant l'échelle HO (1:87) et O (1:48). Durant les années 1960, Bachmann s'essaye à d'autres gammes de produits, comme des animaux moulés en plastique, des minis-avions, des figurines militaires. Ces gammes seront supprimées du catalogue en 1987, afin de recentrer toute l'activité sur le train.
En 1966, Bachmann entre dans le monde des trains miniatures en profitant du succès de l'échelle N (1:160)1. En 1970, apparaissent les premières production à l'échelle HO.
En 1981, le groupe Kader achète Bachmann, en proie a des difficultés financières, qui devient Bachmann Industries. 1988 voit le lancement de la gamme Spectrum, avec des modèles plus fins, mieux motorisés. En 2001, c'est la gamme en 0n30 (voie étroite à l'échelle 1:48) qui connaît un grand succès. En 2006 est lancée une gamme Digital en collaboration avec l'allemand Lenz.
Avec ses nombreuses filiales, Bachmann est aujourd'hui le plus important fabricant de trains miniatures au monde. Ses bénéfices sont été, pour 2006, d'environ 46,87 millions de dollars, soit une augmentation de 3.36% par rapport à 20052. La majorité des modèles sont conçus au siège nord américain de la marque à Philadelphie et produits à Dongguan en République populaire de Chine.
Baby Trains (France)
Baby-Trains était un magasin situé 9 rue du petit-pont dans le cinquième arrondissement de Paris. Ouvert dans le milieu des années 50, probablement en 1957, Baby-Train proposait uniquement des trains miniatures aux échelles HO et TT ainsi que tous les accessoires permettant de décorer ce type de réseau.
A peu près toutes les marques étaient disponibles dans le magasin, ainsi que de nombreux kits en bronze et en exclusivité Baby Trains. Baby Trains n'a à ma connaissance jamais réalisé ces pièces qui provenaient d’artisans. Le magasin a fermé ses portes dans le milieu des années 80.
Bascou (France)
Vers 1966, Bascou reprend la firme Antal et propose la 231 Pacific HO dans les versions H, C ou G sous la marque "La Maquette Scientique". L'histoire de Bascou n'est pas très connu, on sait simplement qu'il était installé à Villennes-sur-Seine dans le 78, cette information étant inscrite sous les locomotives. Bascou décèdera un an plus tard, date d'arrêt de la production de la célèbre Pacific Antal.
BEMO(Allemagne)
Principalement échelle HOm (voie métrique), chemins de fer suisses (RHB, MOB, SBB, BVZ) et lignes régionales allemandes.
BING (Allemagne): 1863-1933. Marque disparue.
BLZ(France) :
Entreprise créée en 1943 jusqu'a 1951 : BLZ pour Bourdeaux-Lheure-Zedda, les 3 créateurs. Fernand Lheure continuera de 1951 à 1955 (?) sous la marque EFFEL (comme ses initiales). Echelle 0 pour ces 2 marques, même si BLZ a fait un peu de HO sous la marque Scéllé-Bell.
Brawa(Allemagne) : fabricant de modèles haut de gamme à l'échelle HO et N
Broadway Limited Imports (BLI) (États-Unis) : Fabricant de trains à l'échelle HO et N.
Brekina (Allemagne)
Fondée à Umkirch (sud de l'Allemagne) en 1979 et a commencé à produire des modèles en matière plastique à l’échelle 1/87ème très détaillés, puis des voitures classiques dans l'année suivante. Leur premier modèle était une voiture Opel P4 des années 1930, mais bientôt l'entreprise cet axée sur les voitures, les camions et les autobus des années 1950 aux années 1970. En attendant, la société est devenue l'un des plus importants fabricants de modèles à l'échelle 1/87ème, et leurs produits sont devennus de plus en plus détaillées. Les modèles les plus réussis ont été jusqu'à présent les bus VW et les vans qui ont été proposés en plusieurs couleurs différentes, mais les modèles de camion sont également très populaires.
Busch(Allemagne)
Carmina (France)
La firme Carmina a été créée par Monsieur Pennati dans le milieu des années 1970. Elle était située 14 chemin de Pierris à Saint Thibault des Vignes dans le département de la Seine et Marne. Cette petite firme artisanale est surtout connue pour ses pantographes de très haute qualité, mais elle a aussi réalisée en quantité limitée du matériel moteur et remorqué principalement à l'échelle HO, mais aussi aux échelles O et N.
Carmina a été vendue dans le début des années 2000.
Chaumeilproductions en bronze du type Chaumeil, Prunière, Arisan Reaubourg Jean Louis,
CO.FER.MI. (France) CO.FER.MI. pour COmpagnie FErroviaire MIniature. Echelle HO - deuxième moitié des années 70
CR ( France)
Charles Rossignol et sa femme Marie s'installent vers 1870 au 133 rue du Chemin Vert dans le 11ème arrondissement à Paris pour créer la société CR, formée à partir des initiales de son fondateur. La production s'oriente tout de suite vers les jouets. Puis en 1888, Charles Rossignol dépose le brevet de l'assemblage par agrafage. Cette invention, associée au procédé de la lithographie sur la tôle, va propulser l'entreprise familiale en réduisant le coût de la production et en augmentant les quantités produites.
Toutes sortes de jouets vont être produits par CR jusqu'à la cessation de l'activité en 1962. Côté trains, CR a produit une gamme très variée de trains de plancher mécaniques ou à traîner, des gares et bâtiments lithographiés aux noms amusants comme jouetville ou joujouville, des trains électriques à l'échelle O et aux écartements de 28 ou 35mm... A partir de 1935, les trains portent l'inscription Eclair.
Cropsy (France)
Les ateliers Cropsy étaient installés avenue de Suffren dans le 15ème arrondissement de Paris. La marque est très connue pour avoir réalisé entre 1948 et le début des années 1960 une multitude de bâtiments montés ou à monter, en bois ou en carton.
Dapol(Royaume-uni)
Disque Rougeentreprise spécialisée danss la signalisation et accessoires pour chemin de fer miniature HO.
Edobaud (France)Son créateur, Edouard Baud a créé une entreprise en lui donnant, à quelque chose près son nom; Edo(uard)baud et ce, en 1928. La marque vivra 10 ans.
Elle se caractérise par la taille et le poids de son matériel et par la gamme "relativement" restreinte de ses produits (5 motrices, 8 voitures, 9 wagons et 5 wagonnets de chantier, quelques accessoires). Si l'écartement des voies est à l'échelle 0, à la différence de LR, les dimensions générales du matériel sont plus proches du 1 (1/30 ème).
Effel (France)La firme EFFEL a été créée en 1952 par Fernand Lheure, l'un des anciens associés de la marque BLZ, qui installe son atelier rue Piat à Paris.
La production à l'échelle O est constituée par la reprise de quelques voitures de la marque BLZ, mais aussi par des locomotives du type BB 9004, 2D2 et BB 12000 produites à peu d'exemplaires.
La production s'arrête au milieu de l'année 1953 après le décès de son fondateur.
Electrotren(Espagne)
Créée en 1951 et qui produisait des modèles à l'échelle "O".A partir de 1954 débute la production de modèles à l'échelle HO.Electrotren reproduit principalement des modèles espagnols (RENFE ou MZA) avec toutefois une particularité : les voies larges espagnoles ne sont pas prises en compte et les modèles roulent sur de la voie HO à l'écartement 16,5 mm.Une coopération importante existe entre Electrotren et Märklin. De très nombreux modèles sont réalisés pour le 3 rails et de nombreux accessoires proviennent du fabricant allemand.Electrotren collabore également avec d'autres entreprises espagnoles comme Anguplas et Eko qui lui fournissent des chargements (véhicules) pour ses wagons.A l'origine les modèles sont plutôt de type "trains jouet" mais évoluent pour devenir les véritables modèles réduits que nous connaissons de nos jours.L'entreprise fait partie du groupe HORNBY depuis avril 2004
ESU [/b ] (Allemagne)
Société a été fondée en 1996 qui au début, la fabriquait des modules pour des maquettes de bateaux et d’autos.
Pendant les premières années de modules le son « numérique » s’est développé (dits "Topsound").Avec un contrôleur de haute performance pour les modèles de grandes vitesse de croisière (par exemple "mcHydro 55") ou les modules d'extension pour les télécommandes RC.
Tous ces produits ont été commercialisées par des ste de renom mais le nom «ESU» n’était pas mis en évidence.
Déjà le premier produit ESU était un module numérique sonore avec des sons enregistrés à partir de l'original. En comparaison avec les bruits produits par synthèse.Les modélistes ont adorés l'ambiance sonore réaliste de leurs bateaux et les voitures!
En 1997, la société ESU a donc pris la décision de transférer l'expérience acquise sur le chemin de fer miniature. Et depuis le développement du décodeur LokSound a commencé.
Dès le début 1999 il a été constaté que seule la combinaison de régulateur de vitesse (décodeur) et un module sonore pouvait montrer les propriétés souhaitées. La technologie de stockage prévu également rendu possible, à tout moment, pour supprimer le bruit et les remplacer par d'autres. Avec l'aide de l'ordinateur, on peut même auto-configurer les sons. Cette technique permet le développement du LokSound jusqu'à cette date unique au monde.
En 2000 ESU présente le LokSound XL au Salon international du jouet. Avec la technologie caractéristiques de conduite d'un amplificateur puissant pour les chemins de fer de jardin.
L'Association « Allemagne V » élit le décodeur LokSound comme modèle de l'année dans la catégorie « numérique ». Le premier fabricant de trains miniatures qui équipe une locomotive avec les décodeurs ESU est Mehano avec la "Blue Tiger».
En 2001: création la du LokPilot avec son excellente régulation de charge, couplée avec des propriétés multi-protocoles, une programmation simple et des sorties pratiquement indestructibles ont convaincus tout de suite le fabricant ROCO qui l'installe dans la S3/6.
En 2003 ESU présente à Nuremberg la « contrôle mobile » (première télécommande sans fil) pour compléter les systèmes numériques compatibles.
En 2006 ESU présente à Nuremberg la troisième génération de LokSound (avec 4 canaux sonores polyphonique). La régulation de charge ultrafine a été encore améliorée et couplée avec le son sa taille réduite permet d'être installé dans les modèles de locomotives échelle TT ou N.
Et fournit des décodeurs pour le standard mondial DCC, ainsi que les systèmes Märklin. Et la centrale ECoS prévoit un grand écran avec messages en texte brut, mais aussi avec l'écran tactile, couplé avec des commandes rotatives pour la conduite de locomotives.
Le point culminant en 2008 est certainement « l’ECoS Control Radio » contrôleur de poche Radio pour la centrale ECoS. La famille Switch Pilot a été étendue.
En 2009/2010 ESU présente la deuxième génération de l'ECoS Digital Center. Equipé d'un écran couleur et 4 protocoles de données, ainsi qu’une gamme de produits nouveaux et fiables « ECoSDetector » : modules de rétroaction.
En 2013 commercialisation de la première série de quatre Locomotives et par la suite un grand nombre de décodeurs et matériels roulants...
Faller (Allemagne)
Entreprise de création et fabrication de maquettes à différentes échelles (HO, N, Z) et éléments de décor pour réseau de modélisme ferroviaire, de modélisme militaire et de modélisme d'attraction foraines. Faller a également développé pour les réseau ferroviaire le Car-System permettant de faire évoluer sur les réseaux miniatures, en plus des trains, des véhicules routiers.
Le 15 septembre 2009, Faller a officiellement déposé son bilan. Le 30 avril 2010, Faller annonçait le règlement du passif de l’entreprise, ainsi qu'un nouveau départ avec une production revue.
Flèche d’Or Modélisme entreprise créée en 2010 dans la construction de réseaux miniatures
Fleischmann (Allemagne)
Etait l'une des plus importantes firmes allemandes créée en 1887 et produit toujours des trains de qualité aux échelles HO, N et TT reprise dans le groupe Roco
France Trains
La firme France Trains a été fondée en 1967 par Monsieur Albert Millet. Elle était située au 50 rue du Berri dans le huitième arrondissement de Paris. Après le décès de Monsieur Millet emporté par une maladie dans les années 73–74 et la faillite de la firme, France Trains est repris par l'ancien chef de production Monsieur Raffin et Madame Millet. Ils s'installent alors au lieu–dit "Moulin du Gué Plat" à Pommeuse près de Coulommiers et l'atelier de la rue du Berri devient un magasin exposition. La production France Trains s'arrêtera en 1981. Une partie des moules a été repris par Tram puis par Jouef. Outre le célèbre wagon Arbel, ses productions sont La firme France Trains a été fondée en 1967 par Monsieur Albert Millet. Elle était située au principalement des voitures en plastique injecté d'une très grande qualité. On peut citer par exemple des voitures à rivets, des voitures à portières latérales de type Est, des voitures lits de type Z de la CIWL, des voitures du Sud–Express, des Mitropa... Certaines sont très proches de celles produites quelques années auparavant par SMCF. La petite équipe France Trains intègre d'ailleurs René Collard, ancien dirigeant de la petite firme et graveur talentueux. Le matériel moteur est constitué par les 2D2 5500, les CC 65500 ex 060 DA et l'autorail ABJ 3. Ce dernier, entièrement réalisé en laiton, est un modèle d'une très grande rareté.
Fulgurex (Suisse)
Fulgurex a été créée au lendemain de la seconde guerre mondiale par le Comte Antonio Coluzzi. Installé 2 rue du Midi à Lausanne, le magasin est spécialisé dans la vente de trains et est revendeur officiel de la marque VB en Suisse. La grue VB à Col de Cygne immatriculée SBB CFF aurait été créée à quelques exemplaires seulement spécialement pour Fulgurex. Ce n'est qu'au début des années 60 que Fulgurex va commencer ses propres réalisations. Les modèles sont réalisés en laiton et en bronze, aux échelles O, HO, I et N. Ce sont des trains haut de gamme: la qualité est au rendez-vous, mais le prix aussi. Fulgurex est maintenant situé 16 rue du reposoir à Lausanne et continue sa réalisation de modèles prestigieux.
Frateschi (Brésil)
En 1958, la fabrique de jouets Frateschi de Galileu Frateschi a été fondée. Elle produisait des peluches, des meubles en bois et des trains en métal. Ensuite les premiers produits de modélisme ferroviaire tels que des postes de téléphone et des pylônes électriques ont été produits. En 1967, la fabrique de jouets a été renommé comme Indústrias Reunidas Frateschi Ltda afin de se concentrer pleinement sur les trains miniatures. En 1973 le premier catalogue a été lancé, en 1988, le dernier magazine Frateschi Informativo avec le numéro 44 a été publié qui ensuite fut remplacé par le magazine Revista Brasileira de Ferreomodelismo. En 1993 a commencé la collaboration avec Atlas et les exportations vers les États-Unis. Le 22 août 2009 a été organisé le 13e rencontre des modélistes ferroviaires à Campinas près de São Paulo.
Gégé (France)
La firme Gégé est créée par Germain Giroud en 1934 pour fabriquer des jouets. Le nom Gégé est formé par les initiales de son fondateur: GG devenu Gégé. La première usine se trouvait à Moingt. Par la suite, il y en eut trois autres: à Saint Clément de Valorgue, à Roche La Molière et à Firminy. Ces quatre petites villes sont situées non loin de Saint–Etienne.
Si Gégé est connu pour ses trains électriques, ceux–ci ne sont qu'une toute petite partie de sa production. De 1934 à 1979, Gégé va fabriquer des centaines de jouets de toutes sortes comme des dînettes, des fers à repasser électriques, des panoplies, des jeux scientifiques, des circuits automobiles, des ours, des voitures, des chevaux... On peut aussi citer "Mily" et "Dolly" les célèbres poupées mannequins et le coffret "le petit biologiste" qui se sont vendus à des milliers d'exemplaires.
Gécomodel créée en 1979 le précurseur du H0m en France. Depuis cette date, ils ont aussi réalisé des modèles pour le H0 ; le 014 ; le 0e ; le 0m (production arrêtée) ; et plus récemment le IIm.
GMP (France) : GMP vient du nom des fondateurs Gilardi, Mouraux, Pottier. La firme a produit de 1955 à 1959 aussi bien des accessoires que du matériel roulant (une loco BB 8100 et des voitures et wagons) Echelle O.
GützoldJohn Gützold et son épouse créèrent en 1946 une fabrique de pistons à Zwickau en Allemagne. En 1948 il construit un train miniature en bois et métal. En 1950 il fabrique un train complet miniature à l'échelle HO (1/87) pour un système de rails en courant alternatif à 3 brins et s'investit ensuite dans une production industrielle de trains miniatures HO. En 1952 il fabrique le premier prototype de locomotive allemande en classe BR24. En 1982 la société est absorbée par la firme Toys Sonneberg et les produits Gützold sont commercialisés sous la marque Piko. En 1990 après la réunification de l'Allemagne Gutzold redevient une entreprise familiale et élargit la gamme de produits en adoptant l'échelle TT.
En 2012 Bernd Gützold prend sa retraite et la société est achetée en 2013 par des investisseurs allemands.
HAG-Modelleisenbahnen AG est un fabricant suisse de modèles réduits ferroviaires établit à Mörschwil dans le canton de Saint-Gall.
Heki(Allemagne)
Entreprise familiale fondée par Mr Kittler en 1960, specialisée dans la fabrication de décors et accessoires pour le modelisme ferroviaire (arbres, décors, routes, constructions…).
Heris (Allemagne) entreprise céée en 2000 spécialisée dans le matériel roulant d'inspiration germanique
Herpa(Allemagne) spécialisée dans les auto miniatures
Hobbytrade (Danemark), fabricant artisanal de matériels belges
Hobbytrain(Allemagne) entreprise spécialisée dans le matériel roulant échelle 1/160 (N)
Hornby (Royaume-Uni)
Frank Hornby est né en 1863 à Liverpool. A 16 ans, il quitte l'école qu'il n'aimait pas pour travailler avec son père épicier. Après le décès de celui–ci, Franck travaillera pendant 20 ans pour David Elliott, un grossiste en viande.
Frank Hornby a deux garçons et une fille pour lesquels il invente des jouets. C'est à cette occasion qu'il va réaliser un petit jeu qui consiste à assembler des pièces en métal. Il a 38 ans lorsqu'il dépose en 1901 le brevet du jeu de construction qui s'appelle alors "Fabrications Mécaniques Faciles". Le nom du célèbre jeu de construction Meccano (qui aurait pour origine "Make and Know")* ne sera trouvé qu'en 1907. En 1908, Franck Hornby quitte David Elliot et ouvre sa propre entreprise: Meccano.
En quelques années seulement, la firme deviendra un petit empire constitué de plusieurs usines à Liverpool comme celle de Duke Street qui est la plus ancienne ou celle de Binns Road.
Les pièces du jeu de construction sont alors fabriquées en nickel et ne sont pas peintes. La couleur ne viendra que beaucoup plus tard à l'occasion du 25ème anniversaire de la création du jeu.
En 1912, Frank Hornby affiche ses ambitions internationales. Il fonde Meccano France rue Ambroise Thomas à Paris et Meccano Allemagne en association avec Märklin. Deux autres usines sont créées, l'une en Espagne et l'autre en Argentine. Deux ans plus tard, lors de la première guerre mondiale, les parts de Meccano dans l'usine de Berlin ont été confisquées et attribuées à Märklin. En 1920, Meccano France ouvre sa première usine rue Rebéval dans le quartier parisien de Belleville. La grande usine Meccano de la rue Henri Barbusse à Bobigny n'ouvrira qu'en 1930.
Toujours en 1920, la firme de Liverpool crée la marque Hornby destinée à la fabrication de trains. En 1934, elle crée sa première voiture Dinky Toys. Ces miniatures atteignent aujourd'hui des records mondiaux en matière de prix dans les ventes aux enchères. En plus du jeu de construction, des trains et des Dinky Toys, Meccano c'est aussi des avions, des bateaux...
Frank Hornby décède le 21 septembre 1936. C'est Roland, son plus vieux fils, qui prend la tête de l'entreprise. En 1938, il crée la marque Hornby Dublo. Mais la production de ces trains à l'échelle OO ne va se développer que plus tard car en 1942, les usines anglaises sont réquisitionnées par le gouvernement pour produire du matériel de guerre. La production de Meccano ne reprendra son régime d'avant guerre qu'à partir de 1948.
Meccano qui a très bien géré la première guerre mondiale et la crise économique de 1929 connaît maintenant ses premières difficultés. La seconde guerre a affaibli la situation financière du groupe et la succession de Frank Hornby ne semble pas à la hauteur pour gérer et diriger la grande entreprise. En 1950, le groupe connaît encore de grandes ventes et Meccano France est au mieux de sa forme mais la fortune du groupe s'amenuise. En 1960, Les trains Dublo sont très concurrencés par les trains Triang beaucoup moins chers grâce à l'utilisation massive du plastique. Le jeu de construction Meccano déjà concurrencé par Trix l'est maintenant aussi par le groupe danois Lego.
En 1964, les dirigeants de Meccano acceptent la reprise par le géant anglais du jouet: le groupe Lines. Les productions de Meccano continuent mais ce grand groupe va aussi connaître des difficultés. L'usine de Bobigny qui a compté jusqu'à 500 ouvriers ferme en 1969 et l'ensemble de la production est transféré dans l'usine Triang de Calais. Le groupe fait finalement faillite en 1971.
Meccano Angleterre est repris par Airfix et Meccano France par le géant américain General Mills. Meccano France prend alors le nom Miro–Meccano. En 1980, plusieurs usines Meccano ferment, notamment celle de Binns Road qui était synonyme de la marque depuis 66 ans. En janvier 1981, Airfix fait faillite et Meccano Angleterre est repris par General Mills. La production en Angleterre est arrêtée. Le 4 novembre 1985, General Mills vend Meccano à un comptable français: Marc Rebibo. Meccano restera en France dans l'usine de Calais puis sera vendu à la firme japonaise Nikko au cours de l'année 2000.
La société britannique Hornby se développe fortement et avec le temps de nouvelles marques telles que les circuits routiers Scalextric, les maquettes en plastique Airfix, les peintures Humbrol et la gamme de miniatures Corgi s’ajoutèrent aux gammes existantes.
Le groupe Hornby PLC, société cotée en bourse, possède à ce jour 5 filiales, en France (Hornby France ex Jouef), en Espagne (Horny Spain, ex Electrotren), en Italie (Hornby Italia, ex groupe Lima Rivarossi), en Allemagne (Hornby Deuschland) et aux Etats-Unis (Hornby America).
Aujourd’hui Hornby France distribue les marques du groupe, Jouef, MKD, Arnold, Lima, Electrotren, Rivarossi, Hornby, Humbrol, Airfix, Scalextric, Corgi ainsi que les produits des marques Busch et Preiser dont elle est le distributeur exclusif pour la France.
Tous ces produits sont à découvrir chez nos détaillants spécialisés mais aussi lors des expositions grand public où nous sommes présents telles que Ferrovi’art en mars, Le Mondial du modélisme en juin, Railexpo en novembre…
HRF fabricant suisse de matériels roulants en Kits laiton
Hübner(Allemagne) Entreprise artisanale spécialisée dans la fabrication de matériels roulant
Huetentreprise artisanale Gérard Huet créée dans les années 90 reprise par Proto-87
Imagimonde(France) Fabricant de kit de bâtiments et structures 1:22,5 de train de jardin
Jägerndörfer (Autriche)
Fabricant relativement nouveau de modèles HO et de N de matériels roulants autrichiens. Les sélections sont des modèles à l'échelle 1/87 & 1/160 de très haute qualité, super détaillés et exacts, et offrent toutes les fonctionnalités mécaniques et électroniques de pointe pour un fonctionnement et un réalisme excellent
JCR(France) Jean Claude Ribaud fondateur des kits faciles à monter aussi bien en HO qu'en 0 à rejoint les étoiles en 2016
Jep (France) La société des Jouets de Paris
La société des Jouets de Paris est créée le 25 octobre 1902 par le rassemblement de sept fabriques spécialisées dans le jouet. Le 28 avril 1909, un gigantesque incendie détruit les cinq mille mètres carrés de l'usine de Montreuil. Quatre mois plus tard, le premier août, la société des Jouets de Paris cède ses brevets et ce qu'il reste de son usine à la Société Industrielle de Ferblanterie. La société préfère conserver le nom de Jouet de Paris.
Les jouets vont alors prendre pendant quelque temps le nom de JP puis J de P et enfin JEP en 1929. Le nom sonne bien et signifie aussi "Jouet Educatif Parisien". Certains jouets fabriqués entre 1909 et 1914 peuvent porter les deux inscriptions: SIF et JP. .Elle appartient à une société anonyme fondée en 1932 par M. Grasset, ferblantier à Paris. La société installe son usine au 94 de la rue de Paris à Montreuil–Sous–Bois. La SIF, Société Industrielle de Ferblanterie est créée le 9 décembre 1899 par le rassemblement principalement de trois usines situées à Solre–Le–Château (Nord), Chalons–Sur–Saône (Saône–et–Loire) et Beaune (Côte–d'Or). La société fabrique des articles de ferblanterie, mais aussi des jouets en tous genres notamment des trains. Ces trains en fer blanc, qui portent l'inscription SIF, sont aujourd'hui très recherchés.
L'entre–deux guerre
Pendant la première guerre mondiale, l'usine est réquisitionnée et le directeur de l'époque Cyril Bonnet se voit dans l'obligation de fabriquer des casques pour notre armée.
Dès la fin de la guerre, la fabrication des jouets va reprendre et la société entre dans une période de plein essor. Des trains extraordinaires à l'échelle O comme "La flèche d'Or", la "Pacific" ou l'autorail "Triple Bleu" accompagnés d'une multitude d'accessoires sortent des usines chaque année. Mais les trains ne sont qu'une partie de la colossale production de Jep. L'entreprise fabrique toutes sortes de jouets comme des voitures, des bateaux, des canots de course, des patins à roulettes, des accessoires de plage, des cuisinières, des avions...
Les usines de Montreuil, de Solre-le-Château, de Chalon-sur-Saône, de Beaune et d'Orléans consomment plusieurs tonnes de matières premières par jour. A elle seule, l'usine de Montreuil s'étend maintenant sur une superficie au sol de plus de 10000 mètres carrés et emploie jusqu'à 771 personnes.
Le siège social de la Société Industrielle de Ferblanterie se trouve 39 rue Beaumarchais dans le troisième arrondissement de Paris. La SIF possède aussi de nombreuses salles d'échantillons en France et en Europe (Lyon, Alger, Amsterdam, Le Caire, Zurich, Casablanca, Bruxelles et Göteborg) qui témoignent de l'importance de l'exportation des jouets Jep.
L'après guerre
L'après guerre est une période difficile pour Jep. La France tourne au ralentit et il y'a pénurie de matières premières. Le catalogue perd plusieurs dizaines de références et ce n'est qu'en 1948 que la société va reprendre son rythme initial.
Cette année là, Jep se lance dans le OO qui deviendra un peu plus tard le HO. Tout un programme est lancé avec du beau matériel roulant comme la 232 R, la 2D2 9101 ou les célèbres voitures saucissons, sans oublier la voie, les accessoires et les bâtiments. Le O n'est pas délaissé et le catalogue ne cesse de s'enrichir de nouveaux modèles chaque année.
La réponse à la concurrence
Dans les années 50, la situation de Jep se dégrade et il ne reste plus que deux usines. Celle de Montreuil-sous-Bois où sont entre autres fabriqués les trains et celle d'Orléans spécialisée dans la fabrication des pistolets, cuisinières et meubles de cuisine. L'usine de Montreuil reste la plus importante mais n'emploie plus que 500 personnes.
Le métal et les jouets de qualité coûtent chers et se vendent de plus en plus mal. Pour faire face à Jouef qui propose des trains en plastique de moins bonne qualité mais bien moins chers, la société choisie vers 1955 d'intégrer le plastique dans ses jouets. Cette mesure ne suffisant pas pour redresser la barre, la direction décide d'augmenter ses tarifs. Entre 1956 et 1959, les jouets du catalogue augmentent en moyenne de 30%.
En 1960, la matière plastique s'impose intégralement avec les trains de la série 61. Jep prend enfin conscience que ses trains de luxe sont très chers et espère en créant cette série bon marché conquérir de nouveaux adeptes qui achèteront par la suite les beaux trains Jep. Parallèlement, Jep intègre aussi dans son catalogue de beaux coffrets luxueux comprenant les jolies locomotives de la marque et les belles voitures en tôle créées par le sous–traitant Rateau.
Les années 60: la chute
Malheureusement les modèles de la série 61 sont très décevants et bien moins réalistes que ceux de Jouef, si bien que cette initiative ne rencontre pas le succès escompté.
En 1960, Hornby s'est lancé à son tour dans l'échelle HO et porte un coup qui va être fatal pour Jep. Débarrassée de sa concurrente VB, la jolie 060 DB de Jep subit maintenant la concurrence de celle de Hornby. La gamme va continuer à se dégrader et la grande usine Jep qui n'a pas supporté la révolution de la matière plastique ferme définitivement ses portes en 1968.
JL (France)
JL était une petite marque artisanale spécialisée dans la fabrication de wagons à construire, signaux et appareils de voie. Elle a été fondée par Jean Laffont en 1949 qui s'installe au 132 de la rue de Rivoli dans le premier arrondissement de Paris. Comme souvent à cette époque, le nom JL est formé à partir de ses initiales. Jean Laffont était assez proche de JR Allard du magasin Au Pullman. On retrouve ainsi la pièce JL dans le catalogue Pullman (ce qui parait assez logique pour le catalogue d'un détallant), mais surtout la voix JRA dans le catalogue JL.
La production JL est constituée d'une cinquantaine de wagons différents fabriqués à partir de carton associé au bois et au métal. Chacun d'entre eux possède un charme indégnable et est bien souvent une pièce unique. En effet, les pièces étaient souvent modifiée ou améliorée par l'amateur qui avait à sa disposition dans le catalogue une large gamme de planches de décoration, inscriptions, peinture ou accessoires comme les guérites, les échelles, les bandes de rivets simples ou doubles...
En 1971, Jean Laffont déménage au 90 rue du dessous des berges dans le 13ème où il décédera quelques mois plus tard. L'entreprise cessera progressivement son activité jusqu'à l'écoulement des stocks en 1972.
Jouef
C'est Georges HUARD, patron du Jouet Français qui avait installé cette première antenne jurassienne. Région traditionnellement voué à la petite industrie de précision, à l'horlogerie, à la lunetterie & à la joaillerie...
Elle était placée sous la responsabilité de Roger BUGNET et d'ailleurs, jusqu'en 1961, on travailla "chez Bugnet" avant d'être employé Jouef.
En 1965, JOUEF à son apogée comptait 4 usines principales et quelques ateliers "satellites" sur un rayon de 25 km ( On dit que deux mille personnes œuvrèrent simultanément pour Jouef en terre jurassienne).
-La première à Foncine le Haut (90 personnes)à son origine "Manufacture de tournerie et jouets du Haut-Jura" crée par André Margerit la fabrication des rails, celle des moteurs mécaniques, le montage de la plupart des locomotives.
-Champagnole, l'usine A, (60 personnes) à quoi il faut ajouter 250 à 300 personnes travaillant à domicile, va assurer l'injection, le montage, la fabrication des transformateurs, les sous-stations, les contacteurs, les appareils de voie.(dernière usine qui à fermée en 2001)
_Foncine le Bas (40 personnes) assurait la production des moteurs, le bobinage & une dizaine travaillant à domicile.
-Sirod (40 personnes) & Siam étaient spécialisé dans la production des locotracteurs, moteurs y compris, puis des fameuses "Pacific", enfin des automobiles de circuit.
-Salins montait les appareils de voie.
-Il y eut encore Crotenay, Mignovillard, Sellières, affectés suivant la demande à divers produits
En 1949, la firme Jouef propose son premier train mécanique en tôle lithographié: l'autorail "Alger - Tombouctou", a qui elle doit une partie de sa réputation.
Ensuite, elle va fabriquer quelques voitures à bogies en tôle lithographiée avant de se lancer dans la fabrication de trains en plastique injecté à l'échelle HO à partir de 1954.
En 1954, Jouef reproduit la BB 9003, puis rapidement la célèbre BB 9004 (record du monde oblige). La BB 9003 est d'ailleurs une locomotive très rare.
Les premiers trains en plastique tiennent plus du jouet que du véritable modèle réduit, mais la gamme va rapidement s'enrichir et la qualité s'améliorer.
Les modèles deviennent irréprochables, le traditionnel moteur saucisson est remplacé par le moteur racer M20. Pour la première fois dans l'histoire du train, Jouef va déplacer le moteur des locomotives à vapeur dans le tender. Ce procédé va permettre de réaliser des trains à vapeur sans aucune contrainte, assurant des modèles réalistes avec un embiellage exact. La politique de trains à bas prix accompagnée d'une agressivité commerciale énorme fait le succès de Jouef. Les coffrets se trouvent dans toutes les grandes surfaces, le cadeau de Noël du jeune garçon est un train Jouef.
En 1970, l'entreprise compte 1365 salariés répartis dans dix usines dont six dans la région de Champagnole. Car Jouef, c'est aussi Playcraft en Angleterre, HDI en Irlande, une équipe de football...
Jouef Exporte dans toute l'Europe et vers les Etats–Unis.
Mais à partir de 1975, alors que Jouef ne possède plus de concurrence en France (Meccano vient d'arrêter sa production de trains), l'entreprise connaît ses premières difficultés, victime d'une mauvaise gestion et de la concurrence des grandes marques allemandes.
En 1980, Jouef dépose son bilan et est racheté par la firme française Joustra qui sera intégrée un peu plus tard dans le groupe CEJI.
Jouef suit l'actualité ferroviaire de près. Ainsi les premiers TGV sont créés. En 1982, Jouef va battre un record: 25000 TGV commercialisés en moins d'un an.
Mais en 1985, CEJI dépose aussi son bilan et Jouef sera repris par Jean Pierre Coron, un homme d'affaires qui va s'associer avec Monsieur Baret, le patron du groupe Treddi (Fobbi). Certains trains seront alors marqués Jouef et Fobbi.
En 1995, après un redressement judiciaire, l'entreprise est reprise par le groupe italien Rivarossi qui délaisse en partie le train grand public pour repositionner Jouef sur le train de collection.
Jouef produit alors des modèles récents avec des moteurs à hautes performances et volants d’inertie qui satisfont les modélistes chevronnés. Le parc de matériel remorqué n'est pas non plus oublié avec la création de beaux modèles.
Les rames à grande vitesse connaissent un grand succès commercial, mais d'autres machines comme la Sybic subissent la concurrence allemande. De plus, le coût énorme de la création de nouveaux moules nécessite la vente de plusieurs milliers de machines pour amortir un modèle. Ce pari est difficile à tenir. Le marché est petit, un modéliste achète une locomotive à 250 €, rarement deux.
Au début de l'année 2001, Jouef accumule un niveau de perte d'un million de francs par mois (d'après le groupe Rivarossi!), ce qui rend inévitable l'arrêt de la production. L'initiative de Rivarossi n'a certes pas eu le succès espéré.
Le 1er juin 2001, Paolo Brandi, PDG du groupe italien IDE Commerciali II, (ex Rivarossi, Lima, Arnold, Jouef) déclare, par ce simple communiqué: "Jouef, leader français du train miniature, est contraint de cesser sa production en France" et décide de fermer l'usine de Champagnole. Le matériel de production doit être rapatrié en Italie pour y poursuivre la fabrication des trains Jouef.
Malgré la lutte des 58 derniers employés, l'occupation de l'usine baptisée loft et les nombreuses manifestations de soutient envers la dernière entreprise de modélisme ferroviaire française, la BB 36000 Astrid restera la dernière locomotive sortie des ateliers Jouef de Champagnole.
En septembre 2001, la petite entreprise jurassienne enfouie au fond de tous les cœurs d'enfants ferme définitivement ses portes.
En 2006 ,la société Hornby France, issue du rachat de MKD par le groupe HORNBY, marque la renaissance de Jouef.
Graham Farish (Royaume-Uni) : Fabricant de N anglais.
Jucsie(France) Fabricant français de trains jouets du début des annéers 50
Kato (Japon)
Kato Precision Railroad Models (au Japon: Sekisui Kinzoku Co., Ltd.), est un fabricant japonnais de trains miniatures fondé en août 1957 par Hiroshi Kato. Kato travaille sur des produits à deux échelles différentes, le 1:87 (échelle HO) et le 1:160 (échelle N) pour trois marchés différents : le Japon, son marché historique, l'Amérique du Nord et l'Europe.
Basé à Tokyo, Kato dispose de deux usines à Saitama et Sakado, ainsi que d'une filiale à Schaumburg, Illinois, États-Unis.
Kato est également fabricant d'un système de voie ferrée miniature à ballast intégré appelé Unitrack.
Keyser (Royaume-Uni)
La marque anglaise Keyser proposa entre 1981 et 1984 de nombreux kits en métal blanc à monter par collage. Ces jolis modèles originaux à fabriquer soi–même étaient distribués en France par Jouef et MKD.
Le succès est au rendez–vous mais la construction s'avère très difficile voir impossible si bien que la majorité des kits seront abandonnés. En effet, les pièces s'assemblent mal et la technique du collage n'arrange rien. En fait, le montage est beaucoup plus facile avec la technique de la soudure, une bonne lime et beaucoup de patience.
Parmi les nombreux modèles SNCF proposés, citons entres autres les autorails Renault VH et X 5500, la 2D2 5500 Waterman, la 141 TC Nord, la BB 9004, les machines rouennaises Buddicom...
Kibri(Allemagne) fabricant des ponts metalliques, maisons, usines tout le nécéssaires pour le décor
Kleinbahn (Autriche) : ancien fabricant modèles HO
Cette liste permettra à certains (surtout les débutants) de connaitre d'où vient la "merveille" qu'ils ont déniché au fond d'un grenier...
les infos sont issues de l'ex site "les trains de guillaume", Wikipédia etc...
Certaines "marques" ne sont pas renseignées ou bien manquantes donc si vous avez des infos vous pouvez faire un message sur le post ...et je les rajouterai ....aussi si vous voyez des erreurs ou inepties = PAREIL : inutile de faire des rayures ou couleurs différentes
Accucraft (États-Unis) : Modèles de qualité en laiton à grande échelle (1:19 à 1:32) et vapeur vive
A & B Industries (États-Unis) : Fabricant de caissons de rangement pour les échelles O, HO et N.
AAA Precision Turntables (États-Unis) : Fabricants de tables tournantes et de commandes de tables tournantes aux échelles G, O, S, HO, N et Z.
ABG Model Trains (Suisse) : Fabricant de locomotives, wagons de marchandise et bâtiments à l'échelle O allemande (1:45).
ACME (Italie) le spécialiste milanais du train HO italien
Accucraft (États-Unis) : Modèles en laiton à grande échelle (1:19 à 1:32) et vapeur vive.
Accu-Lites (États-Unis) : Fabricant d'éclairages de locomotives à l'échelle HO.
Accurail (États-Unis) : Fabricant de wagons de marchandise à l'échelle HO.
Accurate Dimensionals (États-Unis) : Fabricant de décor aux échelles S, HO & N
Aristo-craft (États-Unis) : Fabricant de trains de jardin au 1:29 et 1:24
Athearn (États-Unis) : Fabricant de trains à l'échelle HO et N.
Atlas (États-Unis) : Fabricant de trains à l'échelle HO, N, O et Z.
American Z Line (États-Unis) : Fabricant de trains américains à l'échelle Z.
L’Aiguilleur (France)
SARL "Trains de France", société créée par Madame Millet et Monsieur Raffin et spécialisée dans la décoration et la vente de trains en plastique de très bonne qualité. Il était situé au 4 de la rue Merlin dans le onzième arrondissement de Paris et tenu par Madame Millet, dont le mari décédé avait été le fondateur de France-Trains. Le magasin a fermé au début de la décennie 1990, vers 92 ou 93.
Monsieur RAFFIN s'occupait de l'aspect technique du modélisme et procédait à des transformations et des sur détaillage de matériels du commerce. C'est ainsi qu'a été créée une 141 TA du PO à surchauffeur, basée sur le modèle Jouef. L'Aiguilleur a aussi commercialisé deux modèles de locomotives, la 121 Forquenot du PO et la 2C2 du MIDI dont la production était sous-traitée par DJH Model Loco. Depuis la disparition de l'Aiguilleur, DJH commercialise directement ses modèles et a d'ailleurs remis ensuite ces deux locomotives dans son catalogue.
La rame de voitures à portières latérales du MIDI et du PO-MIDI est en fait une production des Trains Rousseau, figurant à la page 7 du catalogue 1985-86 de ce constructeur. Il est vraisemblable qu'en raison des difficultés financières rencontrées par les Trains Rousseau, seuls les tirages des modèles bruts aient été effectués. L'Aiguilleur aurait ensuite procédé à la décoration de ces modèles avant de les commercialiser directement. La production se compose aussi de voitures Est à lanterneau, d'une remorque d'autorail aux couleurs du PLM, ainsi qu'une voiture "parc", toujours en PLM. Ces deux derniers modèles étaient extrapolés de voitures Est ou Nord à portières latérales.
Les voitures produites par L'Aiguilleur sont réalisées en plastique. Elles possèdent des vitrages, des rambardes rapportées, des soufflets, un aménagement intérieur... Leur décoration est très soignée.
Allard (France)
J-R. Allard (JRA) a ouvert son magasin Au Pullman en 1946, au 72 rue d'Amsterdam, à la lisière du 9° arrondissement, dans le quartier de l'Europe, en face du Petit Lycée Condorcet qui lui apportait sans doute une nombreuse clientèle d'élèves, mais aussi de parents.
A la fois revendeur de marques de l'époque (VB, ANTAL, PMP, Bascou, Tourelle, JEP, Hornby, BLZ, HAG, …), il voulait résolument promouvoir le modèle réduit ferroviaire en proposant à ses clients toutes sortes de matériels à construire soi-même : voie, locos, wagons, bâtiments, transfos même. Ne lésinant pas sur son temps, il passait de longs moments avec ses jeunes clients pour les conseiller, les orienter vers des solutions simples, efficaces et peu onéreuses, à la portée de leur bourse plate, tout en poussant la vente de ses fabrications, sans jamais exclure de produits de marques, bien entendu.
Inventif, J-R. Allard créa peu à peu tout le matériel nécessaire à la construction d'un réseau complet et, lorsque le temps, ou le manque de compétence, manquait au client, il proposait même des réseaux "clé en mains" que fabriquait Serge Pélachaud, le technicien maison qui a fait toute sa carrière au Pullman.
Au moins 2 catalogues ont été édités, en 1952 et 1955 (y a-t-il eu des éditions ultérieures ?), aux rubriques classées par ordre alphabétiques, décrivant les produits et prodiguant des conseils, intitulés " Traité - Guide - Catalogue général illustré des trains HO ". L'introduction stipule clairement : "Notre but, en publiant le présent ouvrage, est de répondre au désir pressant de notre clientèle, FRANÇAISE ou ÉTRANGÈRE, chaque jour plus nombreuse, de pouvoir se faire, grâce à un petit opuscule, simple et concis, une idée générale de ce qu'on peut réaliser, en TRAINS MINIATURE, soit en construisant soi-même son matériel soit en se procurant du matériel du commerce, tout construit." Un slogan accrocheur y figure également, mais seulement dans la 2° édition : "Construisez votre voie : un réseau de voies "PULLMAN" rembourse tout le reste !" (NDLR : l'auteur, ancien lycéen de Condorcet et client du Pullman, atteste que ceci est tout à fait véridique).
Au milieu des années 1960 J-R. Allard a pris sa retraite à Lancieux, dans les Côtes d'Armor où il est décédé à la fin des années 1990. Le magasin Au Pullman existe toujours à la même adresse.
Antal (France)
La petite firme Antal a été créée en 1944 pendant la seconde guerre mondiale. Antoine Alaverdhi, le fondateur, donna les premières syllabes de son prénom et de son nom à sa société. La production Antal se limite à une seule locomotive déclinée en plusieurs variantes: la 231-H Pacific.
En proie à des difficultés financières, Antoine Alaverdhi s'associe à Charles Vuillaume vers 1950. Le matériel est désormais vendu sous le nom Vuillaume-Antal et on verra apparaitre la 231 accompagnée de voitures Vuillaume dans plusieurs coffrets.
Les voitures Vuillaume sont très proches des voitures Rateau. La firme Rateau ayant été créée vers 1954, il est possible que René Rateau ait racheté Vuillaume dans le milieu des années 50.
La 231-H existe dans de nombreuses versions. Le premier modèle est noir mat uniforme et fonctionne au courant alternatif. Il sera ensuite vendu en vert ou en noir, pour courant alternatif ou continu, en versions normal, super-détails, super-amateur, et même en kit.
Vers 1966, Antal est repris par Bascou qui décède un an plus tard. La production s'arrêtera à ce moment là.
Arnold (Allemagne)
Entreprise allemande de fabrication de jouets créée à Nuremberg le 4 octobre 1906.Spécialisée dans les jouets en fer-blanc, elle produisait aussi des bateaux et des maisons de poupée jusqu'à la Seconde Guerre mondiale où l'usine fut totalement détruite.
Elle est surtout connue pour avoir lancé en 1962 la gamme de trains miniatures Arnold Rapido à l'échelle du 1:160 avec un écartement des rails de 9 mm : ce fut la naissance de l'échelle N.
De 1960 à 1962, la production était constituée par une gamme de petits trains « Rapido 200 », à l'échelle 1:200, plutôt train jouet que train modèle.
Mais, à partir de 1962, l'entreprise se tourna vers la production de véritables trains miniatures et s'imposa comme la production N de référence à partir de 1970. En 1964, l'échelle N était reconnue comme norme NEM et plus tard ce fut l'« attelage Rapido » qui fut retenu comme standard européen de l'échelle.
En 2000, la firme est rachetée par Lima puis en 2004 par Hornby PLC. La production est maintenant faite en Chine.
ARTITEC(Néederland)
Depuis sa création dans les années 80, Artitec est spécialisée dans la construction de modèles pour musées, architectes et chantiers navals. Par exemple, le diorama «Reede van Texel» pour le Maritime and Beachcombers Museum de Texel, qui ramène les visiteurs à l'année 1665, également recréé la ville d'Alkmaar vers 1671 pour le Stedelijk Museum Alkmaar. Ce dernier a été réalisé à l'échelle du train miniature 1:87.
AS(France) : Échelle HO. Échelle O tin plate. Marque disparue, dans les années 80.
Auhagen (Allemagne)
Entreprise familiale dans les Monts Métallifères depuis près de 140 ans, appuyant sur la diligence et l'inventivité de ses employés et en travaillant continuellement sur la qualité et l'originalité de ses modèles.
Bachman (Etats Unis)
Créée en 1833 par Henry Carlisle. Elle fabrique alors des objets ornements et des bijoux en ivoire. En 1899, l'entreprise, dirigée par Henry E. Bachmann, fusionne avec celle du père et du frère de celui-ci et devient Bachmann Bros. En 1929, Bachmann devient fabricant de lunettes de soleil.
En 1947, Bachmann s'essaye au plastique et lance la production de décorations de Noël, en particulier de petites barrières. Celles-ci sont réutilisées par des modélistes ferroviaires. Voyant là un marché à exploiter, Bachmann lance sa gamme de bâtiments Plasticville, à l'intention des modélistes pratiquant l'échelle HO (1:87) et O (1:48). Durant les années 1960, Bachmann s'essaye à d'autres gammes de produits, comme des animaux moulés en plastique, des minis-avions, des figurines militaires. Ces gammes seront supprimées du catalogue en 1987, afin de recentrer toute l'activité sur le train.
En 1966, Bachmann entre dans le monde des trains miniatures en profitant du succès de l'échelle N (1:160)1. En 1970, apparaissent les premières production à l'échelle HO.
En 1981, le groupe Kader achète Bachmann, en proie a des difficultés financières, qui devient Bachmann Industries. 1988 voit le lancement de la gamme Spectrum, avec des modèles plus fins, mieux motorisés. En 2001, c'est la gamme en 0n30 (voie étroite à l'échelle 1:48) qui connaît un grand succès. En 2006 est lancée une gamme Digital en collaboration avec l'allemand Lenz.
Avec ses nombreuses filiales, Bachmann est aujourd'hui le plus important fabricant de trains miniatures au monde. Ses bénéfices sont été, pour 2006, d'environ 46,87 millions de dollars, soit une augmentation de 3.36% par rapport à 20052. La majorité des modèles sont conçus au siège nord américain de la marque à Philadelphie et produits à Dongguan en République populaire de Chine.
Baby Trains (France)
Baby-Trains était un magasin situé 9 rue du petit-pont dans le cinquième arrondissement de Paris. Ouvert dans le milieu des années 50, probablement en 1957, Baby-Train proposait uniquement des trains miniatures aux échelles HO et TT ainsi que tous les accessoires permettant de décorer ce type de réseau.
A peu près toutes les marques étaient disponibles dans le magasin, ainsi que de nombreux kits en bronze et en exclusivité Baby Trains. Baby Trains n'a à ma connaissance jamais réalisé ces pièces qui provenaient d’artisans. Le magasin a fermé ses portes dans le milieu des années 80.
Bascou (France)
Vers 1966, Bascou reprend la firme Antal et propose la 231 Pacific HO dans les versions H, C ou G sous la marque "La Maquette Scientique". L'histoire de Bascou n'est pas très connu, on sait simplement qu'il était installé à Villennes-sur-Seine dans le 78, cette information étant inscrite sous les locomotives. Bascou décèdera un an plus tard, date d'arrêt de la production de la célèbre Pacific Antal.
BEMO(Allemagne)
Principalement échelle HOm (voie métrique), chemins de fer suisses (RHB, MOB, SBB, BVZ) et lignes régionales allemandes.
BING (Allemagne): 1863-1933. Marque disparue.
BLZ(France) :
Entreprise créée en 1943 jusqu'a 1951 : BLZ pour Bourdeaux-Lheure-Zedda, les 3 créateurs. Fernand Lheure continuera de 1951 à 1955 (?) sous la marque EFFEL (comme ses initiales). Echelle 0 pour ces 2 marques, même si BLZ a fait un peu de HO sous la marque Scéllé-Bell.
Brawa(Allemagne) : fabricant de modèles haut de gamme à l'échelle HO et N
Broadway Limited Imports (BLI) (États-Unis) : Fabricant de trains à l'échelle HO et N.
Brekina (Allemagne)
Fondée à Umkirch (sud de l'Allemagne) en 1979 et a commencé à produire des modèles en matière plastique à l’échelle 1/87ème très détaillés, puis des voitures classiques dans l'année suivante. Leur premier modèle était une voiture Opel P4 des années 1930, mais bientôt l'entreprise cet axée sur les voitures, les camions et les autobus des années 1950 aux années 1970. En attendant, la société est devenue l'un des plus importants fabricants de modèles à l'échelle 1/87ème, et leurs produits sont devennus de plus en plus détaillées. Les modèles les plus réussis ont été jusqu'à présent les bus VW et les vans qui ont été proposés en plusieurs couleurs différentes, mais les modèles de camion sont également très populaires.
Busch(Allemagne)
Carmina (France)
La firme Carmina a été créée par Monsieur Pennati dans le milieu des années 1970. Elle était située 14 chemin de Pierris à Saint Thibault des Vignes dans le département de la Seine et Marne. Cette petite firme artisanale est surtout connue pour ses pantographes de très haute qualité, mais elle a aussi réalisée en quantité limitée du matériel moteur et remorqué principalement à l'échelle HO, mais aussi aux échelles O et N.
Carmina a été vendue dans le début des années 2000.
Chaumeilproductions en bronze du type Chaumeil, Prunière, Arisan Reaubourg Jean Louis,
CO.FER.MI. (France) CO.FER.MI. pour COmpagnie FErroviaire MIniature. Echelle HO - deuxième moitié des années 70
CR ( France)
Charles Rossignol et sa femme Marie s'installent vers 1870 au 133 rue du Chemin Vert dans le 11ème arrondissement à Paris pour créer la société CR, formée à partir des initiales de son fondateur. La production s'oriente tout de suite vers les jouets. Puis en 1888, Charles Rossignol dépose le brevet de l'assemblage par agrafage. Cette invention, associée au procédé de la lithographie sur la tôle, va propulser l'entreprise familiale en réduisant le coût de la production et en augmentant les quantités produites.
Toutes sortes de jouets vont être produits par CR jusqu'à la cessation de l'activité en 1962. Côté trains, CR a produit une gamme très variée de trains de plancher mécaniques ou à traîner, des gares et bâtiments lithographiés aux noms amusants comme jouetville ou joujouville, des trains électriques à l'échelle O et aux écartements de 28 ou 35mm... A partir de 1935, les trains portent l'inscription Eclair.
Cropsy (France)
Les ateliers Cropsy étaient installés avenue de Suffren dans le 15ème arrondissement de Paris. La marque est très connue pour avoir réalisé entre 1948 et le début des années 1960 une multitude de bâtiments montés ou à monter, en bois ou en carton.
Dapol(Royaume-uni)
Disque Rougeentreprise spécialisée danss la signalisation et accessoires pour chemin de fer miniature HO.
Edobaud (France)Son créateur, Edouard Baud a créé une entreprise en lui donnant, à quelque chose près son nom; Edo(uard)baud et ce, en 1928. La marque vivra 10 ans.
Elle se caractérise par la taille et le poids de son matériel et par la gamme "relativement" restreinte de ses produits (5 motrices, 8 voitures, 9 wagons et 5 wagonnets de chantier, quelques accessoires). Si l'écartement des voies est à l'échelle 0, à la différence de LR, les dimensions générales du matériel sont plus proches du 1 (1/30 ème).
Effel (France)La firme EFFEL a été créée en 1952 par Fernand Lheure, l'un des anciens associés de la marque BLZ, qui installe son atelier rue Piat à Paris.
La production à l'échelle O est constituée par la reprise de quelques voitures de la marque BLZ, mais aussi par des locomotives du type BB 9004, 2D2 et BB 12000 produites à peu d'exemplaires.
La production s'arrête au milieu de l'année 1953 après le décès de son fondateur.
Electrotren(Espagne)
Créée en 1951 et qui produisait des modèles à l'échelle "O".A partir de 1954 débute la production de modèles à l'échelle HO.Electrotren reproduit principalement des modèles espagnols (RENFE ou MZA) avec toutefois une particularité : les voies larges espagnoles ne sont pas prises en compte et les modèles roulent sur de la voie HO à l'écartement 16,5 mm.Une coopération importante existe entre Electrotren et Märklin. De très nombreux modèles sont réalisés pour le 3 rails et de nombreux accessoires proviennent du fabricant allemand.Electrotren collabore également avec d'autres entreprises espagnoles comme Anguplas et Eko qui lui fournissent des chargements (véhicules) pour ses wagons.A l'origine les modèles sont plutôt de type "trains jouet" mais évoluent pour devenir les véritables modèles réduits que nous connaissons de nos jours.L'entreprise fait partie du groupe HORNBY depuis avril 2004
ESU [/b ] (Allemagne)
Société a été fondée en 1996 qui au début, la fabriquait des modules pour des maquettes de bateaux et d’autos.
Pendant les premières années de modules le son « numérique » s’est développé (dits "Topsound").Avec un contrôleur de haute performance pour les modèles de grandes vitesse de croisière (par exemple "mcHydro 55") ou les modules d'extension pour les télécommandes RC.
Tous ces produits ont été commercialisées par des ste de renom mais le nom «ESU» n’était pas mis en évidence.
Déjà le premier produit ESU était un module numérique sonore avec des sons enregistrés à partir de l'original. En comparaison avec les bruits produits par synthèse.Les modélistes ont adorés l'ambiance sonore réaliste de leurs bateaux et les voitures!
En 1997, la société ESU a donc pris la décision de transférer l'expérience acquise sur le chemin de fer miniature. Et depuis le développement du décodeur LokSound a commencé.
Dès le début 1999 il a été constaté que seule la combinaison de régulateur de vitesse (décodeur) et un module sonore pouvait montrer les propriétés souhaitées. La technologie de stockage prévu également rendu possible, à tout moment, pour supprimer le bruit et les remplacer par d'autres. Avec l'aide de l'ordinateur, on peut même auto-configurer les sons. Cette technique permet le développement du LokSound jusqu'à cette date unique au monde.
En 2000 ESU présente le LokSound XL au Salon international du jouet. Avec la technologie caractéristiques de conduite d'un amplificateur puissant pour les chemins de fer de jardin.
L'Association « Allemagne V » élit le décodeur LokSound comme modèle de l'année dans la catégorie « numérique ». Le premier fabricant de trains miniatures qui équipe une locomotive avec les décodeurs ESU est Mehano avec la "Blue Tiger».
En 2001: création la du LokPilot avec son excellente régulation de charge, couplée avec des propriétés multi-protocoles, une programmation simple et des sorties pratiquement indestructibles ont convaincus tout de suite le fabricant ROCO qui l'installe dans la S3/6.
En 2003 ESU présente à Nuremberg la « contrôle mobile » (première télécommande sans fil) pour compléter les systèmes numériques compatibles.
En 2006 ESU présente à Nuremberg la troisième génération de LokSound (avec 4 canaux sonores polyphonique). La régulation de charge ultrafine a été encore améliorée et couplée avec le son sa taille réduite permet d'être installé dans les modèles de locomotives échelle TT ou N.
Et fournit des décodeurs pour le standard mondial DCC, ainsi que les systèmes Märklin. Et la centrale ECoS prévoit un grand écran avec messages en texte brut, mais aussi avec l'écran tactile, couplé avec des commandes rotatives pour la conduite de locomotives.
Le point culminant en 2008 est certainement « l’ECoS Control Radio » contrôleur de poche Radio pour la centrale ECoS. La famille Switch Pilot a été étendue.
En 2009/2010 ESU présente la deuxième génération de l'ECoS Digital Center. Equipé d'un écran couleur et 4 protocoles de données, ainsi qu’une gamme de produits nouveaux et fiables « ECoSDetector » : modules de rétroaction.
En 2013 commercialisation de la première série de quatre Locomotives et par la suite un grand nombre de décodeurs et matériels roulants...
Faller (Allemagne)
Entreprise de création et fabrication de maquettes à différentes échelles (HO, N, Z) et éléments de décor pour réseau de modélisme ferroviaire, de modélisme militaire et de modélisme d'attraction foraines. Faller a également développé pour les réseau ferroviaire le Car-System permettant de faire évoluer sur les réseaux miniatures, en plus des trains, des véhicules routiers.
Le 15 septembre 2009, Faller a officiellement déposé son bilan. Le 30 avril 2010, Faller annonçait le règlement du passif de l’entreprise, ainsi qu'un nouveau départ avec une production revue.
Flèche d’Or Modélisme entreprise créée en 2010 dans la construction de réseaux miniatures
Fleischmann (Allemagne)
Etait l'une des plus importantes firmes allemandes créée en 1887 et produit toujours des trains de qualité aux échelles HO, N et TT reprise dans le groupe Roco
France Trains
La firme France Trains a été fondée en 1967 par Monsieur Albert Millet. Elle était située au 50 rue du Berri dans le huitième arrondissement de Paris. Après le décès de Monsieur Millet emporté par une maladie dans les années 73–74 et la faillite de la firme, France Trains est repris par l'ancien chef de production Monsieur Raffin et Madame Millet. Ils s'installent alors au lieu–dit "Moulin du Gué Plat" à Pommeuse près de Coulommiers et l'atelier de la rue du Berri devient un magasin exposition. La production France Trains s'arrêtera en 1981. Une partie des moules a été repris par Tram puis par Jouef. Outre le célèbre wagon Arbel, ses productions sont La firme France Trains a été fondée en 1967 par Monsieur Albert Millet. Elle était située au principalement des voitures en plastique injecté d'une très grande qualité. On peut citer par exemple des voitures à rivets, des voitures à portières latérales de type Est, des voitures lits de type Z de la CIWL, des voitures du Sud–Express, des Mitropa... Certaines sont très proches de celles produites quelques années auparavant par SMCF. La petite équipe France Trains intègre d'ailleurs René Collard, ancien dirigeant de la petite firme et graveur talentueux. Le matériel moteur est constitué par les 2D2 5500, les CC 65500 ex 060 DA et l'autorail ABJ 3. Ce dernier, entièrement réalisé en laiton, est un modèle d'une très grande rareté.
Fulgurex (Suisse)
Fulgurex a été créée au lendemain de la seconde guerre mondiale par le Comte Antonio Coluzzi. Installé 2 rue du Midi à Lausanne, le magasin est spécialisé dans la vente de trains et est revendeur officiel de la marque VB en Suisse. La grue VB à Col de Cygne immatriculée SBB CFF aurait été créée à quelques exemplaires seulement spécialement pour Fulgurex. Ce n'est qu'au début des années 60 que Fulgurex va commencer ses propres réalisations. Les modèles sont réalisés en laiton et en bronze, aux échelles O, HO, I et N. Ce sont des trains haut de gamme: la qualité est au rendez-vous, mais le prix aussi. Fulgurex est maintenant situé 16 rue du reposoir à Lausanne et continue sa réalisation de modèles prestigieux.
Frateschi (Brésil)
En 1958, la fabrique de jouets Frateschi de Galileu Frateschi a été fondée. Elle produisait des peluches, des meubles en bois et des trains en métal. Ensuite les premiers produits de modélisme ferroviaire tels que des postes de téléphone et des pylônes électriques ont été produits. En 1967, la fabrique de jouets a été renommé comme Indústrias Reunidas Frateschi Ltda afin de se concentrer pleinement sur les trains miniatures. En 1973 le premier catalogue a été lancé, en 1988, le dernier magazine Frateschi Informativo avec le numéro 44 a été publié qui ensuite fut remplacé par le magazine Revista Brasileira de Ferreomodelismo. En 1993 a commencé la collaboration avec Atlas et les exportations vers les États-Unis. Le 22 août 2009 a été organisé le 13e rencontre des modélistes ferroviaires à Campinas près de São Paulo.
Gégé (France)
La firme Gégé est créée par Germain Giroud en 1934 pour fabriquer des jouets. Le nom Gégé est formé par les initiales de son fondateur: GG devenu Gégé. La première usine se trouvait à Moingt. Par la suite, il y en eut trois autres: à Saint Clément de Valorgue, à Roche La Molière et à Firminy. Ces quatre petites villes sont situées non loin de Saint–Etienne.
Si Gégé est connu pour ses trains électriques, ceux–ci ne sont qu'une toute petite partie de sa production. De 1934 à 1979, Gégé va fabriquer des centaines de jouets de toutes sortes comme des dînettes, des fers à repasser électriques, des panoplies, des jeux scientifiques, des circuits automobiles, des ours, des voitures, des chevaux... On peut aussi citer "Mily" et "Dolly" les célèbres poupées mannequins et le coffret "le petit biologiste" qui se sont vendus à des milliers d'exemplaires.
Gécomodel créée en 1979 le précurseur du H0m en France. Depuis cette date, ils ont aussi réalisé des modèles pour le H0 ; le 014 ; le 0e ; le 0m (production arrêtée) ; et plus récemment le IIm.
GMP (France) : GMP vient du nom des fondateurs Gilardi, Mouraux, Pottier. La firme a produit de 1955 à 1959 aussi bien des accessoires que du matériel roulant (une loco BB 8100 et des voitures et wagons) Echelle O.
GützoldJohn Gützold et son épouse créèrent en 1946 une fabrique de pistons à Zwickau en Allemagne. En 1948 il construit un train miniature en bois et métal. En 1950 il fabrique un train complet miniature à l'échelle HO (1/87) pour un système de rails en courant alternatif à 3 brins et s'investit ensuite dans une production industrielle de trains miniatures HO. En 1952 il fabrique le premier prototype de locomotive allemande en classe BR24. En 1982 la société est absorbée par la firme Toys Sonneberg et les produits Gützold sont commercialisés sous la marque Piko. En 1990 après la réunification de l'Allemagne Gutzold redevient une entreprise familiale et élargit la gamme de produits en adoptant l'échelle TT.
En 2012 Bernd Gützold prend sa retraite et la société est achetée en 2013 par des investisseurs allemands.
HAG-Modelleisenbahnen AG est un fabricant suisse de modèles réduits ferroviaires établit à Mörschwil dans le canton de Saint-Gall.
Heki(Allemagne)
Entreprise familiale fondée par Mr Kittler en 1960, specialisée dans la fabrication de décors et accessoires pour le modelisme ferroviaire (arbres, décors, routes, constructions…).
Heris (Allemagne) entreprise céée en 2000 spécialisée dans le matériel roulant d'inspiration germanique
Herpa(Allemagne) spécialisée dans les auto miniatures
Hobbytrade (Danemark), fabricant artisanal de matériels belges
Hobbytrain(Allemagne) entreprise spécialisée dans le matériel roulant échelle 1/160 (N)
Hornby (Royaume-Uni)
Frank Hornby est né en 1863 à Liverpool. A 16 ans, il quitte l'école qu'il n'aimait pas pour travailler avec son père épicier. Après le décès de celui–ci, Franck travaillera pendant 20 ans pour David Elliott, un grossiste en viande.
Frank Hornby a deux garçons et une fille pour lesquels il invente des jouets. C'est à cette occasion qu'il va réaliser un petit jeu qui consiste à assembler des pièces en métal. Il a 38 ans lorsqu'il dépose en 1901 le brevet du jeu de construction qui s'appelle alors "Fabrications Mécaniques Faciles". Le nom du célèbre jeu de construction Meccano (qui aurait pour origine "Make and Know")* ne sera trouvé qu'en 1907. En 1908, Franck Hornby quitte David Elliot et ouvre sa propre entreprise: Meccano.
En quelques années seulement, la firme deviendra un petit empire constitué de plusieurs usines à Liverpool comme celle de Duke Street qui est la plus ancienne ou celle de Binns Road.
Les pièces du jeu de construction sont alors fabriquées en nickel et ne sont pas peintes. La couleur ne viendra que beaucoup plus tard à l'occasion du 25ème anniversaire de la création du jeu.
En 1912, Frank Hornby affiche ses ambitions internationales. Il fonde Meccano France rue Ambroise Thomas à Paris et Meccano Allemagne en association avec Märklin. Deux autres usines sont créées, l'une en Espagne et l'autre en Argentine. Deux ans plus tard, lors de la première guerre mondiale, les parts de Meccano dans l'usine de Berlin ont été confisquées et attribuées à Märklin. En 1920, Meccano France ouvre sa première usine rue Rebéval dans le quartier parisien de Belleville. La grande usine Meccano de la rue Henri Barbusse à Bobigny n'ouvrira qu'en 1930.
Toujours en 1920, la firme de Liverpool crée la marque Hornby destinée à la fabrication de trains. En 1934, elle crée sa première voiture Dinky Toys. Ces miniatures atteignent aujourd'hui des records mondiaux en matière de prix dans les ventes aux enchères. En plus du jeu de construction, des trains et des Dinky Toys, Meccano c'est aussi des avions, des bateaux...
Frank Hornby décède le 21 septembre 1936. C'est Roland, son plus vieux fils, qui prend la tête de l'entreprise. En 1938, il crée la marque Hornby Dublo. Mais la production de ces trains à l'échelle OO ne va se développer que plus tard car en 1942, les usines anglaises sont réquisitionnées par le gouvernement pour produire du matériel de guerre. La production de Meccano ne reprendra son régime d'avant guerre qu'à partir de 1948.
Meccano qui a très bien géré la première guerre mondiale et la crise économique de 1929 connaît maintenant ses premières difficultés. La seconde guerre a affaibli la situation financière du groupe et la succession de Frank Hornby ne semble pas à la hauteur pour gérer et diriger la grande entreprise. En 1950, le groupe connaît encore de grandes ventes et Meccano France est au mieux de sa forme mais la fortune du groupe s'amenuise. En 1960, Les trains Dublo sont très concurrencés par les trains Triang beaucoup moins chers grâce à l'utilisation massive du plastique. Le jeu de construction Meccano déjà concurrencé par Trix l'est maintenant aussi par le groupe danois Lego.
En 1964, les dirigeants de Meccano acceptent la reprise par le géant anglais du jouet: le groupe Lines. Les productions de Meccano continuent mais ce grand groupe va aussi connaître des difficultés. L'usine de Bobigny qui a compté jusqu'à 500 ouvriers ferme en 1969 et l'ensemble de la production est transféré dans l'usine Triang de Calais. Le groupe fait finalement faillite en 1971.
Meccano Angleterre est repris par Airfix et Meccano France par le géant américain General Mills. Meccano France prend alors le nom Miro–Meccano. En 1980, plusieurs usines Meccano ferment, notamment celle de Binns Road qui était synonyme de la marque depuis 66 ans. En janvier 1981, Airfix fait faillite et Meccano Angleterre est repris par General Mills. La production en Angleterre est arrêtée. Le 4 novembre 1985, General Mills vend Meccano à un comptable français: Marc Rebibo. Meccano restera en France dans l'usine de Calais puis sera vendu à la firme japonaise Nikko au cours de l'année 2000.
La société britannique Hornby se développe fortement et avec le temps de nouvelles marques telles que les circuits routiers Scalextric, les maquettes en plastique Airfix, les peintures Humbrol et la gamme de miniatures Corgi s’ajoutèrent aux gammes existantes.
Le groupe Hornby PLC, société cotée en bourse, possède à ce jour 5 filiales, en France (Hornby France ex Jouef), en Espagne (Horny Spain, ex Electrotren), en Italie (Hornby Italia, ex groupe Lima Rivarossi), en Allemagne (Hornby Deuschland) et aux Etats-Unis (Hornby America).
Aujourd’hui Hornby France distribue les marques du groupe, Jouef, MKD, Arnold, Lima, Electrotren, Rivarossi, Hornby, Humbrol, Airfix, Scalextric, Corgi ainsi que les produits des marques Busch et Preiser dont elle est le distributeur exclusif pour la France.
Tous ces produits sont à découvrir chez nos détaillants spécialisés mais aussi lors des expositions grand public où nous sommes présents telles que Ferrovi’art en mars, Le Mondial du modélisme en juin, Railexpo en novembre…
HRF fabricant suisse de matériels roulants en Kits laiton
Hübner(Allemagne) Entreprise artisanale spécialisée dans la fabrication de matériels roulant
Huetentreprise artisanale Gérard Huet créée dans les années 90 reprise par Proto-87
Imagimonde(France) Fabricant de kit de bâtiments et structures 1:22,5 de train de jardin
Jägerndörfer (Autriche)
Fabricant relativement nouveau de modèles HO et de N de matériels roulants autrichiens. Les sélections sont des modèles à l'échelle 1/87 & 1/160 de très haute qualité, super détaillés et exacts, et offrent toutes les fonctionnalités mécaniques et électroniques de pointe pour un fonctionnement et un réalisme excellent
JCR(France) Jean Claude Ribaud fondateur des kits faciles à monter aussi bien en HO qu'en 0 à rejoint les étoiles en 2016
Jep (France) La société des Jouets de Paris
La société des Jouets de Paris est créée le 25 octobre 1902 par le rassemblement de sept fabriques spécialisées dans le jouet. Le 28 avril 1909, un gigantesque incendie détruit les cinq mille mètres carrés de l'usine de Montreuil. Quatre mois plus tard, le premier août, la société des Jouets de Paris cède ses brevets et ce qu'il reste de son usine à la Société Industrielle de Ferblanterie. La société préfère conserver le nom de Jouet de Paris.
Les jouets vont alors prendre pendant quelque temps le nom de JP puis J de P et enfin JEP en 1929. Le nom sonne bien et signifie aussi "Jouet Educatif Parisien". Certains jouets fabriqués entre 1909 et 1914 peuvent porter les deux inscriptions: SIF et JP. .Elle appartient à une société anonyme fondée en 1932 par M. Grasset, ferblantier à Paris. La société installe son usine au 94 de la rue de Paris à Montreuil–Sous–Bois. La SIF, Société Industrielle de Ferblanterie est créée le 9 décembre 1899 par le rassemblement principalement de trois usines situées à Solre–Le–Château (Nord), Chalons–Sur–Saône (Saône–et–Loire) et Beaune (Côte–d'Or). La société fabrique des articles de ferblanterie, mais aussi des jouets en tous genres notamment des trains. Ces trains en fer blanc, qui portent l'inscription SIF, sont aujourd'hui très recherchés.
L'entre–deux guerre
Pendant la première guerre mondiale, l'usine est réquisitionnée et le directeur de l'époque Cyril Bonnet se voit dans l'obligation de fabriquer des casques pour notre armée.
Dès la fin de la guerre, la fabrication des jouets va reprendre et la société entre dans une période de plein essor. Des trains extraordinaires à l'échelle O comme "La flèche d'Or", la "Pacific" ou l'autorail "Triple Bleu" accompagnés d'une multitude d'accessoires sortent des usines chaque année. Mais les trains ne sont qu'une partie de la colossale production de Jep. L'entreprise fabrique toutes sortes de jouets comme des voitures, des bateaux, des canots de course, des patins à roulettes, des accessoires de plage, des cuisinières, des avions...
Les usines de Montreuil, de Solre-le-Château, de Chalon-sur-Saône, de Beaune et d'Orléans consomment plusieurs tonnes de matières premières par jour. A elle seule, l'usine de Montreuil s'étend maintenant sur une superficie au sol de plus de 10000 mètres carrés et emploie jusqu'à 771 personnes.
Le siège social de la Société Industrielle de Ferblanterie se trouve 39 rue Beaumarchais dans le troisième arrondissement de Paris. La SIF possède aussi de nombreuses salles d'échantillons en France et en Europe (Lyon, Alger, Amsterdam, Le Caire, Zurich, Casablanca, Bruxelles et Göteborg) qui témoignent de l'importance de l'exportation des jouets Jep.
L'après guerre
L'après guerre est une période difficile pour Jep. La France tourne au ralentit et il y'a pénurie de matières premières. Le catalogue perd plusieurs dizaines de références et ce n'est qu'en 1948 que la société va reprendre son rythme initial.
Cette année là, Jep se lance dans le OO qui deviendra un peu plus tard le HO. Tout un programme est lancé avec du beau matériel roulant comme la 232 R, la 2D2 9101 ou les célèbres voitures saucissons, sans oublier la voie, les accessoires et les bâtiments. Le O n'est pas délaissé et le catalogue ne cesse de s'enrichir de nouveaux modèles chaque année.
La réponse à la concurrence
Dans les années 50, la situation de Jep se dégrade et il ne reste plus que deux usines. Celle de Montreuil-sous-Bois où sont entre autres fabriqués les trains et celle d'Orléans spécialisée dans la fabrication des pistolets, cuisinières et meubles de cuisine. L'usine de Montreuil reste la plus importante mais n'emploie plus que 500 personnes.
Le métal et les jouets de qualité coûtent chers et se vendent de plus en plus mal. Pour faire face à Jouef qui propose des trains en plastique de moins bonne qualité mais bien moins chers, la société choisie vers 1955 d'intégrer le plastique dans ses jouets. Cette mesure ne suffisant pas pour redresser la barre, la direction décide d'augmenter ses tarifs. Entre 1956 et 1959, les jouets du catalogue augmentent en moyenne de 30%.
En 1960, la matière plastique s'impose intégralement avec les trains de la série 61. Jep prend enfin conscience que ses trains de luxe sont très chers et espère en créant cette série bon marché conquérir de nouveaux adeptes qui achèteront par la suite les beaux trains Jep. Parallèlement, Jep intègre aussi dans son catalogue de beaux coffrets luxueux comprenant les jolies locomotives de la marque et les belles voitures en tôle créées par le sous–traitant Rateau.
Les années 60: la chute
Malheureusement les modèles de la série 61 sont très décevants et bien moins réalistes que ceux de Jouef, si bien que cette initiative ne rencontre pas le succès escompté.
En 1960, Hornby s'est lancé à son tour dans l'échelle HO et porte un coup qui va être fatal pour Jep. Débarrassée de sa concurrente VB, la jolie 060 DB de Jep subit maintenant la concurrence de celle de Hornby. La gamme va continuer à se dégrader et la grande usine Jep qui n'a pas supporté la révolution de la matière plastique ferme définitivement ses portes en 1968.
JL (France)
JL était une petite marque artisanale spécialisée dans la fabrication de wagons à construire, signaux et appareils de voie. Elle a été fondée par Jean Laffont en 1949 qui s'installe au 132 de la rue de Rivoli dans le premier arrondissement de Paris. Comme souvent à cette époque, le nom JL est formé à partir de ses initiales. Jean Laffont était assez proche de JR Allard du magasin Au Pullman. On retrouve ainsi la pièce JL dans le catalogue Pullman (ce qui parait assez logique pour le catalogue d'un détallant), mais surtout la voix JRA dans le catalogue JL.
La production JL est constituée d'une cinquantaine de wagons différents fabriqués à partir de carton associé au bois et au métal. Chacun d'entre eux possède un charme indégnable et est bien souvent une pièce unique. En effet, les pièces étaient souvent modifiée ou améliorée par l'amateur qui avait à sa disposition dans le catalogue une large gamme de planches de décoration, inscriptions, peinture ou accessoires comme les guérites, les échelles, les bandes de rivets simples ou doubles...
En 1971, Jean Laffont déménage au 90 rue du dessous des berges dans le 13ème où il décédera quelques mois plus tard. L'entreprise cessera progressivement son activité jusqu'à l'écoulement des stocks en 1972.
Jouef
C'est Georges HUARD, patron du Jouet Français qui avait installé cette première antenne jurassienne. Région traditionnellement voué à la petite industrie de précision, à l'horlogerie, à la lunetterie & à la joaillerie...
Elle était placée sous la responsabilité de Roger BUGNET et d'ailleurs, jusqu'en 1961, on travailla "chez Bugnet" avant d'être employé Jouef.
En 1965, JOUEF à son apogée comptait 4 usines principales et quelques ateliers "satellites" sur un rayon de 25 km ( On dit que deux mille personnes œuvrèrent simultanément pour Jouef en terre jurassienne).
-La première à Foncine le Haut (90 personnes)à son origine "Manufacture de tournerie et jouets du Haut-Jura" crée par André Margerit la fabrication des rails, celle des moteurs mécaniques, le montage de la plupart des locomotives.
-Champagnole, l'usine A, (60 personnes) à quoi il faut ajouter 250 à 300 personnes travaillant à domicile, va assurer l'injection, le montage, la fabrication des transformateurs, les sous-stations, les contacteurs, les appareils de voie.(dernière usine qui à fermée en 2001)
_Foncine le Bas (40 personnes) assurait la production des moteurs, le bobinage & une dizaine travaillant à domicile.
-Sirod (40 personnes) & Siam étaient spécialisé dans la production des locotracteurs, moteurs y compris, puis des fameuses "Pacific", enfin des automobiles de circuit.
-Salins montait les appareils de voie.
-Il y eut encore Crotenay, Mignovillard, Sellières, affectés suivant la demande à divers produits
En 1949, la firme Jouef propose son premier train mécanique en tôle lithographié: l'autorail "Alger - Tombouctou", a qui elle doit une partie de sa réputation.
Ensuite, elle va fabriquer quelques voitures à bogies en tôle lithographiée avant de se lancer dans la fabrication de trains en plastique injecté à l'échelle HO à partir de 1954.
En 1954, Jouef reproduit la BB 9003, puis rapidement la célèbre BB 9004 (record du monde oblige). La BB 9003 est d'ailleurs une locomotive très rare.
Les premiers trains en plastique tiennent plus du jouet que du véritable modèle réduit, mais la gamme va rapidement s'enrichir et la qualité s'améliorer.
Les modèles deviennent irréprochables, le traditionnel moteur saucisson est remplacé par le moteur racer M20. Pour la première fois dans l'histoire du train, Jouef va déplacer le moteur des locomotives à vapeur dans le tender. Ce procédé va permettre de réaliser des trains à vapeur sans aucune contrainte, assurant des modèles réalistes avec un embiellage exact. La politique de trains à bas prix accompagnée d'une agressivité commerciale énorme fait le succès de Jouef. Les coffrets se trouvent dans toutes les grandes surfaces, le cadeau de Noël du jeune garçon est un train Jouef.
En 1970, l'entreprise compte 1365 salariés répartis dans dix usines dont six dans la région de Champagnole. Car Jouef, c'est aussi Playcraft en Angleterre, HDI en Irlande, une équipe de football...
Jouef Exporte dans toute l'Europe et vers les Etats–Unis.
Mais à partir de 1975, alors que Jouef ne possède plus de concurrence en France (Meccano vient d'arrêter sa production de trains), l'entreprise connaît ses premières difficultés, victime d'une mauvaise gestion et de la concurrence des grandes marques allemandes.
En 1980, Jouef dépose son bilan et est racheté par la firme française Joustra qui sera intégrée un peu plus tard dans le groupe CEJI.
Jouef suit l'actualité ferroviaire de près. Ainsi les premiers TGV sont créés. En 1982, Jouef va battre un record: 25000 TGV commercialisés en moins d'un an.
Mais en 1985, CEJI dépose aussi son bilan et Jouef sera repris par Jean Pierre Coron, un homme d'affaires qui va s'associer avec Monsieur Baret, le patron du groupe Treddi (Fobbi). Certains trains seront alors marqués Jouef et Fobbi.
En 1995, après un redressement judiciaire, l'entreprise est reprise par le groupe italien Rivarossi qui délaisse en partie le train grand public pour repositionner Jouef sur le train de collection.
Jouef produit alors des modèles récents avec des moteurs à hautes performances et volants d’inertie qui satisfont les modélistes chevronnés. Le parc de matériel remorqué n'est pas non plus oublié avec la création de beaux modèles.
Les rames à grande vitesse connaissent un grand succès commercial, mais d'autres machines comme la Sybic subissent la concurrence allemande. De plus, le coût énorme de la création de nouveaux moules nécessite la vente de plusieurs milliers de machines pour amortir un modèle. Ce pari est difficile à tenir. Le marché est petit, un modéliste achète une locomotive à 250 €, rarement deux.
Au début de l'année 2001, Jouef accumule un niveau de perte d'un million de francs par mois (d'après le groupe Rivarossi!), ce qui rend inévitable l'arrêt de la production. L'initiative de Rivarossi n'a certes pas eu le succès espéré.
Le 1er juin 2001, Paolo Brandi, PDG du groupe italien IDE Commerciali II, (ex Rivarossi, Lima, Arnold, Jouef) déclare, par ce simple communiqué: "Jouef, leader français du train miniature, est contraint de cesser sa production en France" et décide de fermer l'usine de Champagnole. Le matériel de production doit être rapatrié en Italie pour y poursuivre la fabrication des trains Jouef.
Malgré la lutte des 58 derniers employés, l'occupation de l'usine baptisée loft et les nombreuses manifestations de soutient envers la dernière entreprise de modélisme ferroviaire française, la BB 36000 Astrid restera la dernière locomotive sortie des ateliers Jouef de Champagnole.
En septembre 2001, la petite entreprise jurassienne enfouie au fond de tous les cœurs d'enfants ferme définitivement ses portes.
En 2006 ,la société Hornby France, issue du rachat de MKD par le groupe HORNBY, marque la renaissance de Jouef.
Graham Farish (Royaume-Uni) : Fabricant de N anglais.
Jucsie(France) Fabricant français de trains jouets du début des annéers 50
Kato (Japon)
Kato Precision Railroad Models (au Japon: Sekisui Kinzoku Co., Ltd.), est un fabricant japonnais de trains miniatures fondé en août 1957 par Hiroshi Kato. Kato travaille sur des produits à deux échelles différentes, le 1:87 (échelle HO) et le 1:160 (échelle N) pour trois marchés différents : le Japon, son marché historique, l'Amérique du Nord et l'Europe.
Basé à Tokyo, Kato dispose de deux usines à Saitama et Sakado, ainsi que d'une filiale à Schaumburg, Illinois, États-Unis.
Kato est également fabricant d'un système de voie ferrée miniature à ballast intégré appelé Unitrack.
Keyser (Royaume-Uni)
La marque anglaise Keyser proposa entre 1981 et 1984 de nombreux kits en métal blanc à monter par collage. Ces jolis modèles originaux à fabriquer soi–même étaient distribués en France par Jouef et MKD.
Le succès est au rendez–vous mais la construction s'avère très difficile voir impossible si bien que la majorité des kits seront abandonnés. En effet, les pièces s'assemblent mal et la technique du collage n'arrange rien. En fait, le montage est beaucoup plus facile avec la technique de la soudure, une bonne lime et beaucoup de patience.
Parmi les nombreux modèles SNCF proposés, citons entres autres les autorails Renault VH et X 5500, la 2D2 5500 Waterman, la 141 TC Nord, la BB 9004, les machines rouennaises Buddicom...
Kibri(Allemagne) fabricant des ponts metalliques, maisons, usines tout le nécéssaires pour le décor
Kleinbahn (Autriche) : ancien fabricant modèles HO
Dernière édition par Papybricolo le Jeu 10 Déc 2020 - 10:03, édité 26 fois (Raison : mise à jour fabricants)
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L'expérience est une lanterne attachée dans notre dos, qui n'éclaire que le chemin parcouru.
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Le p'tit train de Jicé
Papybricolo- Administrateur
- Date d'inscription : 21/01/2010
Echelle(s) que je pratique : H0 2 Rails & HOm, époques III à V
Digital - Analogique : DCC: avec centrale ECoS V2, réseau piloté par logiciel Train Controller V.10 Gold, décodeurs locos: ESU, Lenz, Zimo, Kuehn, et Ulhlenbrock. Modules électroniques CDF. -
Re: Historique des marques de train miniature A à K
par Papybricolo Mer 9 Déc 2020 - 18:56
Mises à jour effectuées aujourd'hui
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Re: Historique des marques de train miniature A à K
par Rol73 Jeu 10 Déc 2020 - 9:56
Merci de cette compilation !
Une mine !!!
La lecture de cette première partie m'a apprise beaucoup de choses (l'origine et l'évolution de Hornby, de Jouef (je suis jurassien !), etc.
J'attaque la suite ...
À signaler : Brawa et Jägerndörfer font aussi du N.
Une mine !!!
La lecture de cette première partie m'a apprise beaucoup de choses (l'origine et l'évolution de Hornby, de Jouef (je suis jurassien !), etc.
J'attaque la suite ...
À signaler : Brawa et Jägerndörfer font aussi du N.
Rol73- Chef de manoeuvre
- Date d'inscription : 28/07/2019
Echelle(s) que je pratique : N
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Re: Historique des marques de train miniature A à K
par Papybricolo Jeu 10 Déc 2020 - 10:01
Rol73 a écrit:
À signaler : Brawa et Jägerndörfer font aussi du N.
Ok j'EDITE
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Re: Historique des marques de train miniature A à K
par Nadouce Sam 19 Déc 2020 - 16:25
bravo jean claude pour ce beau tableau.
l'aiguilleur rue merlin j'ai bien connu parmi tant d'autres, Mme millet une ravissante femme très souriante et non moins sympathique, j'ai participé modestement à quelques transformations de machines jouef confiés par madame. nostalgie.
l'aiguilleur rue merlin j'ai bien connu parmi tant d'autres, Mme millet une ravissante femme très souriante et non moins sympathique, j'ai participé modestement à quelques transformations de machines jouef confiés par madame. nostalgie.
Nadouce- Pilier du wagon-bar
- Date d'inscription : 19/04/2012
Echelle(s) que je pratique : H0 et N
Digital - Analogique : Analogique et digital
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