Deux petits modules ...

Ca fait un bon bout de temps que je vous ai parlé de l'état d'avancement de mon (dernier) réseau.

C'était en janvier 2008, je crois ! Entretemps, Il a avancé !
Mais ce n'est pas de ce dernier que je vais vous entretenir, mais plutôt de deux modules réalisés suite à une invitation de participer à une expo en commun.


En fait, l'idée émise était de créer une petit réseau d'expo à la mode Saroulmapoul (vous connaissez sans aucun doute cette association de joyeux lurons français et belges, qui font rouler du métrique sur une série de modules raccordés ensemble pour les besoins d'une expo (Expo Trains et ailleurs).


Nous, c'est pareil mais en voie normale. Nous, ça veut dire 3 belges (3 francophones et 3 flamands) pour cette première expo qui s'est déroulée en octobre à Malines (Belgique). On s'est concertés (tant bien que mal dans les deux langues) via Internet et notre forum belge bilingue pour définir des normes et, ma foi, ça ne s'est pas trop mal passé une fois réunis dans le hall de l'expo compte tenu qu'on ne s'était jamais vu avant. On rééditera ça en 2010 (expo tous les 2 ans).

Ah, j'allais oublier. D'éminents membres de la bande Saroulmapoul nous ont prodigué de nombreux conseils pour nous aider. Un grand marci à eux tous.



Voilà l'ensemble des modules réunis dans le hall de l'expo à Mechelen (Malines) près de Bruxelles.
Le mien, c'est le plus grand, le troisième à partir de la gauche. En fait, il est composé de deux modules vu sa grande longueur (2,40 m).



Pour commencer, j'ai dessiné un petit croquis et une vue partielle en 3D. Je construis toujours sur plan car je n'aime pas les surprises (mauvaises).
Bien sûr, comme toujours, le décor a un peu changé en cours de fabrication.



Le premier caisson est terminé et j'ai déjà mis en place le viaduc que j'avais construit auparavant.
A l'aide de bandes de contreplaqué et de polystyrène expansé découpées sommairement, je figure les futurs chemins de campagne et l'assiette de voie agrémentée d'un bout de voie. Ca aide à mieux apprécier les proportions !


Le principe de base était que seule la voie normale devait répondre à des
normes précises pour une jonction aisée et une circulation des convois
sans problème. Le reste était libre d'inspiration (c'est le cas de ma
voie métrique).
La voie normale devait passer impérativement au travers de deux ouvertures situées aux deux extrémités des modules, l'axe et la hauteur de la voie normale étant déterminés avec précision de façon à ce que le raccordement entre modules s'opère aisément. Il y a eu quelques jurons échangés lors de l'assemblage à cause de l'une ou l'autre erreur, mais l'expérience aidant, on fera mieux lors de la prochaine expo.




Le second ouvrage d'art est en cours de construction au moyen de chutes de plasticarte et de plaques de moellons du commerce. Le pont métallique provient d'un ancien kit Pola. Vivent le "scratchbuilding" et le "kitbashing" chers aux modélistes américains. Des éléments de kits du commerce, de la carte plastque, du bois, bref du brol divers et un peu d'imagination ... et aussi de la patience ... ça donne souvent de beaux résultats.




Avant de mettre le pont en place, je le peins et le patine. C'est plus facile à l'établi. Les retouches se feront in situ.
Les rambardes des deux culées sont en laiton photogravé. Celles du pont proprement dit manquent encore ainsi que le tablier en bois.




Le voilà en place avec un bout de voie. Je veille à obtenir une courbe large et à ne pas engager le gabarit au passage sous la grande arche du viaduc en maçonnerie.


Il y a encore beaucoup de travail avant l'échèvement. Malheureusement, j'ai commencé un peu tard et je n'ai disposé que de trois mois pour la réalisation des 2 modules.
Le résultat : beaucoup de détails n'ont pas été achevés. Nous étions tous à peu près dans le même cas. Nous nous somme tous promis de peaufiner les modules pour la fois suivante.

J'espère que ce petit reportage vous plaît et que la suite à venir (demain, j'espère) vous plaira autant.

Bonsoir André et meilleurs voeux.
C'est une belle idée et un beau défi que cette réalisation.
Vivement la suite.

l'imagination c'est très bien mais il faut aussi le savoir-faire.

très belle réalisation les ponts sont superbes

Bonjour André !

Très beau reportage et magnifiques modules... et au passage, tu nous révèles un vrai talent pour le dessin !
Je n'ai pas remarqué ce genre de croquis d'étude sur ton blog, mais peut-être n'ai-je pas bien regardé dans toutes les rubriques...

Je remarque aussi un module tout-à-fait étonnant (le 5ème à partir de la gauche), avec une étrange "faille" géologique: apparemment, l'imagination et l'audace sont de mise parmi votre petit groupe !

Comme dit un autre forumeur, vivement d'autres photos pour appréhender cette jolie réalisation

Très beau travail.

JP

Bonsoir,

Merci pour vos appréciations.

Voici donc la suite de l'histoire.


Le troisième pont est en place et n'attend plus que la pâte de papier pour s'intégrer à son environnement.
Le temps presssait et il me fallait trouver des solutions rapides pour réaliser mes deux modules.
Alors, j'ai farfouillé dans mes réserves et en ai ressorti deux entrées de tunnel à l'échelle TT (1/120). En me balladant dans les bourses ou les magasins, j'ai l'habitude d'acheter pas cher toutes sortes de kits, même incomplets. Je les choisis au pifomètre avec l'idée de m'en servir un jour quand le besoin s'en ferait sentir.
Ici, j'ai utilisé ces deux entrées de tunnel hors échelle (TT, et moi je pratique le H0) pour créer ce pont. Pour cela, j'ai amputé les deux entrées de leur soubassement pour ne garder que la partie cintrée. Les deux murets sur le dessus ont été créés au moyen de plaques de briques Kibri. Une feuille de briques Slaters découpée et cintrée a servi à créer le dessous du tablier de pont.
Les quatre murs de soutènement sont un amalgame de plasticarte vierge et de plaques de moellons Vollmer.
Les couvre-murs sont réalisés à l'aide de bandes de plasticarte coupées à dimension et gravées pour représenter des couvre-murs en pierre de taille.
Quant au tablier, il sera en bois et fera partie de l'assiette de la route qui passera sur le pont.



Une autre vue du pont qui montre une partie des pièces constitutives. Le dessus de la route est censé se situer au niveau + 15 cm. Il faut quand même un peu calculer pour respecter le plan.




Le plan prévoyait que la route située à l'arrière du module devait s'élever suffisamment pour passer à niveau avec la voie métrique. Réflexion faite, j'ai décidé en cours de travaux de réduire sa déclivité et de la faire passer en dessous de l'assiette de voie métrique. Pour cela, il me fallait créer un petit pont.
Le voilà, vite fait, bien fait ! Les deux murs de soutènement proviennent d'un kit de tunnel, les deux arcades sont de la récupération, la voûte a été faite de la même façon que celle du pont précédent. Le reste est de la plasticarte gravée.
Une chute de plaque de moellons vient à point pour réaliser la jonction avec le grand viaduc. La peinture fera le reste.



En route pour le cinquième ouvrage d'art. L'arche est réalisée à partir d'un vieux kit de viaduc Faller. La voûte : même recette que celle des autres ponts. Mais ce n'est pas fini !




Ici, à l'établi, en cours de fabrication. Toujours les mêmes recettes pour gagner du temps !
Les couleurs (plastique d'origine) sont "rococo" mais qu'importe puisque je vais peinturlurer ce pont comme les autres.




Le cinquième pont vient d'être mis en place.
Les routes en contreplaqué sont également prêtes à recevoir leur revêtement routier.
Le support d'un futur petit mur de soutènement figure en face du pont.



Une vue générale de l'ensemble avec ses 5 ponts et ses deux tunnels. Il y a un tunnel sur la voie normale (à l'origine, le plan prévoyait un sixième pont en bout de voie) et un tunnel sur la voie métrique) tout à fait à l'arrière-plan.

Le module est maintenant prêt à recevoir son relief en coquille.
Mais je vous conterai cela une prochaine fois.

Vivement la suite, je vais pas faire la chanson avec un père qui raconte des histoires...

Bonjour,

c'est une belle leçon de fabrication et qui à le mérite d'être clairement
expliquée et documentée.
Bien que le décor ne soit pas tout à fait fini, c'est déjà très beau !

Bonsoir,

Il y a beaucoup de relief sur mes modules. Il est évident que cela entraîne beaucoup de travail, surtout de menuiserie, mais c'est, à mon avis, bien plus beau qu'un réseau sans relief, bien que des plats pays existent.
Personnellement, j'affectionne les belles Ardennes que je visite souvent en moto à la belle saison et je m'en inspire assez bien.
Du reste, la France ne manque pas non plus de régions au relief tourmenté.

Je vais un peu m'attarder sur cette question en espérant que cela puisse aider l'un ou l'autre modéliste tenté par la création d'un beau relief.


Voici une autre vue aérienne qui montre l'ensemble des assiettes supportant les voies, les routes, la rivière, etc.
Chaque niveau est repéré par rapport au dessous du module : rivière à + 8 cm, routes à + 15; 15,5 et 21,5 cm, voie normale à + 15 cm, voie métrique à + 28 cm.



Je remets cette vue pour que vous remarquiez comment l'arrière du module est fait.
La petite plate-forme est destinée à la voie de retour. En effet, les trains devaient passer d'un module à l'autre sur la voie unique et revenir par l'arrière.
Cela m'embêtait dans le sens où je perdais 10 précieux centimètres en profondeur, laquelle était déjà faible à mon goût.
Par expérience, je sais que plus l'épaisseur de l'arrière-plan est grande, plus le réseau sera beau grâce précisément à l'écrin que formera un arrière-plan montant bien garni. Vous me direz qu'il faut de la place. C'est vrai, mais 10 à 15 cm suffisent et s'il est possible de les réserver, c'est tant mieux.
Dans le cas présent, j'ai usé d'un artifice pour obtenir 10 cm supplémentaires. On peut voir une ligne horizontale que j'ai tracée pour définir l'endroit où je me proposais de couper le panneau de fond afin de créer un balcon. Ces 10 cm vont me permettre de créer une sorte de plat au sommet de la falaise pour y planter des arbres.



Cette vue montre le balcon surplombant maintenant la voie de retour. On aperçoit aussi la petite assiette de voie pour le retour de la voie métrique à l'arrière du module. Afin d'éviter un affaissement du balcon, j'ai prévu des supports fins confectionnés à partir de tiges filetées de 6 mm de diamètre.
Remarquez le panneau de fond qui s'étire à la fois sur l'arrière et sur le côté gauche en formant un arc de cercle.
J'en profite pour signaler qu'un arrière-plan doit être idéalement adossé à un panneau de fond sur lequel on représente soit un ciel, soit un paysage assorti. Sans panneau de fond, on perd beaucoup en réalisme.
Je pouvais désormais me lancer dans la confection du décor proprement dit, ce que confirme l'enduit à base de pâte de papier déjà étalée ici et là.



Cette photo montre bien le gain réalisé en profondeur de champ. Sur la partie en balcon, j'utilise des chutes de frigolite (polystyrène extrudé provenant d'emballages divers) que je recouvre de mon enduit. Ailleurs, je mets d'abord en place un support en treillis.
L'enduit est assez humide (on le voit sur le panneau de fond) et, comme beaucoup le savent, ça met du temps à sécher. J'ai dû mettre en place un chauffage avec ventilation pour accélérer le processus, car il faut que je travaille cet enduit au fur et à mesure de son séchage. En effet, on obtient divers effets selon l'état de l'enduit.



Voilà le module fort avancé. J'ai déjà prépeint les roches et les parties qui seront recouvertes de végétation. Les routes sont déjà enduites. Ces quelques couleurs me permettent de mieux apprécier l'ensemble.
Si je n'avais pas disposé des 15 cm supplémentaires, le résultat aurait été beaucoup moins convaincant.
Je vais maintenant laisser sécher tout ça et m'occuper en vitesse du second module car il ne me reste plus que 15 jours avant l'expo.



Le second module de 1,20 m de longueur est accolé au premier à l'aide de boulons. En décomptant la niche qu'on entrevoit sur la droite, la partie visible ne fait que 105 cm en longueur, ce qui donne une longueur totale visible de 2,25 m.
Les assiettes sont en place et il me reste à garnir cela.
Remarquez la menuiserie ajourée. Je dis toujours qu'il faut éviter autant que possible la "planche" chère aux débutants et je recommande par conséquent la méthode dite du "relief en coquille" (le "hardshell scenery" que l'on doit aux pionniers du modélisme d'atmosphère américains, tel John Allen). Pour cela, un cadre de base entretoisé selon les nécessités et des chandelles supportant les diverses assiettes de voie, de routes et autres surfaces destinées à recevoir des constructions. Une fois cela réalisé, on relie tous ces éléments à l'aide de treillis afin de réaliser une coquille creuse.

Tout le dessous devient ainsi très accessible (intérieurs de tunnels, câblage souterrain, moteurs d'aiguillage, etc.).
Je n'oublie pas de procéder aussi à l'enduisage du panneau frontal et du panneau de fond afin de cacher les joints et les vis et les recouvrir de peinture.


Voici maintenant quelques photos des modules tels qu'ils ont été présentés lors de l'exposition.
J'ai volontairement laissé les deux modules dans cet état faute de temps. La partie gauche est terminée à l'exception de détails tels que rambardes de viaduc, les poteaux relatifs aux deux PN, une vieille masure à l'avant-plan et un tas de babioles qui améliorent le réalisme. Ce sera pour la prochaine expo !
La rivière n'a été coulée que sur le module de gauche.
Je me suis dit que la partie de droite servirait de module didactique et j'ai constaté que ça plaisait à pas mal de visiteurs de voir les "entrailles" du module. Et finalement, cela en a aidé quelques-uns à mieux concevoir leur réseau.
Il y a un arbre penché devant le passage inférieur de droite sous le viaduc. Apparemment, il y avait des mains baladeuses ... et aussi certains visiteurs qui seraient bien entrés dans le module s'ils avaient pu afin de pouvoir prendre des photos. Et tout le monde a photographié sans remarquer l'arbre !






La partie gauche pratiquement achevée.



Quelques arbres agrémentent le coin gauche.









Des rochers, il y en a de toutes sortes.J'ai laissé aller mon imagination.



La voie normale disparaît dans le tunnel pour se rendre sur le module voisin. A l'intérieur du tunnel, le bout de voie n'a pas été fixé afin de permettre son raccordement au module suivant.





La rivière avant qu'elle s'engouffre dans le "Trou du Diable" ! En fait, en Belgique, il existe un endroit qui s'appelle "les Grottes de Han".
C'est un endroit très touristique. La rivière s'engouffre en terre et il existe des grottes que les visiteurs peuvent visiter en empruntant d'abord un "tram" à l'ancienne (ex-SNCV pour ceux qui connaissent) qui les hissera au sommet de la falaise où se situe l'entrée des grottes. Je me suis un peu inspiré de cela.



La partie de droite en guise de module didactique. On y reviendra.

on ne peut qu'être admiratifs devant une aussi superbe réalisation.

Bonjour André,
Magnifique. Avec la succession de tes vues on pouvais s'imaginer la végétation pousser.

La rivière avant qu'elle s'engouffre dans le "Trou du Diable" ! En fait, en Belgique, il existe un endroit qui s'appelle "les Grottes de Han".

Tu as aussi le même chantoir à Remouchamps sur la droite de la route en descendant de Louveigné sur Remouchamps à côté d'une scierie (si elle existe encore).

Magnifique.

Merci pour toutes ces explications.

Bonjour,

on assemble deux trois bouts de bois d'arbre, on coule un ou deux kilos de plâtre,
on malaxe quelques feuilles de journaux, un peu de virus du "graphopate", on fait
un chouïa de "barbouillage",etc, etc...
Et on arrive à ce que je viens de voir .....

Magnifique !!

C'est beau de simplicité et de réalisme, et malgré tout mes talents, je m'aperçois
que je suis à des années lumières d'un tel résultat....
( à peine modeste avec ça le mec, non ? )

Bravo !!!Andre ,c,est vraiment du beau boulot digne des meilleurs

Magnifique, c'est super réaliste. C'est très beau. Bravo. Séb

Bonsoir,

Tres beau travail , cela donne des idées, pour la fabrication de modules pour faire des expos

Très beau travail, n'y à t'il pas un train qui passerais ??

Et bé c'est vraiment la classe comme disent les jeunes

Evelyne a écrit:Bonsoir,

Tres beau travail , cela donne des idées, pour la fabrication de modules pour faire des expos

Bonsoir,

Oui, précisément. Sachant que beaucoup d'entre nous ont peu de place pour créer un réseau, je suggère la solution de créer des modules très fouillés pouvant être exposés. Cela procure énormément de plaisir.
Et, pourvu qu'on le prévoie, il y a moyen de les rendre fonctionnels chez soi moyennant une extension amovible en forme de boucle, histoire de faire rouler un train.
On voit toujours dans les expos des modules qui sont fonctionnels grâce à quelques astuces. De façon générale, ce sont des modules très fouillés. Forcément, sur un petit module, on peut se permettre de peaufiner.
Cette année à RailExpo, j'ai retrouvé des modules, qui avaient été présentés de façon individuelle en 2007, mais qui étaient cette fois-ci reliés ensemble (grâce à pas mal d'artifices) de sorte que les propriétaires s'amusaient (fort gaiement) à faire circuler des trains d'un module à l'autre. C'est ce que mes 5 compagnons et moi avons fait à Malines en octobre. La descendance Saroulmapoul (ce sont eux qui ont commencé) est assurée.
C'est une autre façon de faire du p'tit train.

Alex 25531 a écrit:Très beau travail, n'y à t'il pas un train qui passerais ??

Oh si, des trains ont arpenté les rails de mon module je ne sais combien de centaines de fois.



Une type 12 carénée, une des locos les plus rapides de Belgique (record : 160 km/h en 1939, je crois).
C'est une des nouveautés d'un fabricant belge qui venait de sortir, toute en laiton, présentée un bref moment sur les rails de mon module.



Un convoi marchandises tracté par une diesel belge (loco Roco).

Le Service des Plantations n'est toujours pas venu redresser l'arbre !!!

Comme je constate que mon fil rencontre votre faveur, je continue donc.

Cette fois cependant, je limiterai mon intervention, faute de temps.
En attendant, voici encore quelques photos.


Belle vue par dessous la grande arche du viaduc.


Le joint entre les deux modules est visible. Je ne l'ai pas camouflé, le module de droite n'étant pas terminé.
Si la menuiserie est bien faite avec des angles bien droits, la jonction ne pose aucun problème. Une fois les deux modules assemblés, le camouflage du joint est facile (un peu de verdure, un peu de cailloux, ...).
Le raccordement des rails est réalisé à l'aide de traverses taillées dans de l'époxy cuivré.


Vue en direction de la gare métrique comprenant une voie d'évitement et une voie en impasse desservant la cour aux marchandises. Il y aura quelques bâtiments, là au fond. Décidément, plus je regarde les photos, plus je constate qu'il manque un tas de trucs sur mes modules ! J'y remédierai, c'est sûr !


J'aime beaucoup cette vue particulière ! La voie est au code 70 (1,8 mm de hauteur).


A la fois prochaine !

Très beau décor réaliste,finition superbe

Bonjour,André,

merci,merci beaucoup pour ce petit reportage ,digne des plus grandes revues specialisées,tout plein d'explications et de photos c'est vraiment sublime.

Par contre ce serrai sympa de nous montrer les vrais photos du resultat final et non pas des photos prise je ne sais ou dans la nature ,non je blague,tous ça pour dire que c'est criant de realisme,tes roches sont superbe,je ne pensais pas qu'il etait possible d'arriver a un tel résultat,c'est bluffant.

Mais il faut bien ce faire une raison,ça respire de nombreuses années d'expérience.



Et encore merci pour le rêve que tu nous procure.